Un navire dans la tourmente. Chroniques de la vie politique camerounaise 2010-2020

Par : Richard Makon
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  • Nombre de pages144
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.183 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,1 cm
  • ISBN978-2-343-23328-4
  • EAN9782343233284
  • Date de parution21/06/2021
  • CollectionPoints de vue
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Un navire dans la tourmente est le résultat de chroniques politiques publiées dans un certain nombre de médias au Cameroun et à l'étranger entre 2010 et 2020. Celles-ci livrent un regard froid, critique, mais lucide sur la trajectoire politique du Cameroun au cours de cette décennie marquée par d'importants moments. Parmi ceux-ci, Richard Makon évoque la célébration des cinquantenaires de l'indépendance et de la réunification en 2010 ; la montée des replis identitaires dès 2012 ; la lutte contre la secte islamiste Boko Haram à partir de 2016 ; la crise de l'anglophonie identitaire qui atteint son paroxysme dès 2017 ; le retrait au Cameroun en 2018 de l'organisation de la Coupe d'Afrique des nations ICAN) 2019 ; la crise post-électorale consécutive au scrutin présidentiel du 7 octobre 2018.
L'auteur relève que tous ces éléments se déroulent sur fond de luttes des factions pour la succession au sommet de l'Etat.
Un navire dans la tourmente est le résultat de chroniques politiques publiées dans un certain nombre de médias au Cameroun et à l'étranger entre 2010 et 2020. Celles-ci livrent un regard froid, critique, mais lucide sur la trajectoire politique du Cameroun au cours de cette décennie marquée par d'importants moments. Parmi ceux-ci, Richard Makon évoque la célébration des cinquantenaires de l'indépendance et de la réunification en 2010 ; la montée des replis identitaires dès 2012 ; la lutte contre la secte islamiste Boko Haram à partir de 2016 ; la crise de l'anglophonie identitaire qui atteint son paroxysme dès 2017 ; le retrait au Cameroun en 2018 de l'organisation de la Coupe d'Afrique des nations ICAN) 2019 ; la crise post-électorale consécutive au scrutin présidentiel du 7 octobre 2018.
L'auteur relève que tous ces éléments se déroulent sur fond de luttes des factions pour la succession au sommet de l'Etat.