Un marié sans importance

Par : Liliane Perrin

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages157
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.135 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-88340-163-1
  • EAN9782883401631
  • Date de parution11/05/2007
  • CollectionMetropoche
  • ÉditeurMétropolis
  • PréfacierIsmaïl Kadaré

Résumé

Une femme d'âge mûr se laisse séduire dans un bar d'une banlieue industrielle par un jeune clandestin Albanais du Kosovo. L'histoire aurait pu être triviale, scabreuse même, si cette célibataire endurcie, rebelle et réfractaire au mariage, ne s'était prise au jeu de l'amour jusqu'à donner une suite à une aventure qui n'était pas destinée à avoir de lendemain. Sous prétexte de lui donner " le droit au travail ", elle décide d'épouser le jeune Slam. Mais la vérité était ailleurs et la tragédie toute proche : " Les témoins ne peuvent pas dire qui a frappé le premier, car tout est allé, comme on dit, très vite. Le patron est arrivé trop tard, mais les Albanais ne sont pas bagarreurs, a-t-il précisé. " Il n'y eut alors de temps pour dire ni les sentiments, ni les regrets, à peine pour verser une larme...
Une femme d'âge mûr se laisse séduire dans un bar d'une banlieue industrielle par un jeune clandestin Albanais du Kosovo. L'histoire aurait pu être triviale, scabreuse même, si cette célibataire endurcie, rebelle et réfractaire au mariage, ne s'était prise au jeu de l'amour jusqu'à donner une suite à une aventure qui n'était pas destinée à avoir de lendemain. Sous prétexte de lui donner " le droit au travail ", elle décide d'épouser le jeune Slam. Mais la vérité était ailleurs et la tragédie toute proche : " Les témoins ne peuvent pas dire qui a frappé le premier, car tout est allé, comme on dit, très vite. Le patron est arrivé trop tard, mais les Albanais ne sont pas bagarreurs, a-t-il précisé. " Il n'y eut alors de temps pour dire ni les sentiments, ni les regrets, à peine pour verser une larme...