Un mal d'enfance. De la dépendance maternelle à l'infantilisme social
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- Nombre de pages250
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.37 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-7492-7495-9
- EAN9782749274959
- Date de parution26/01/2023
- CollectionHumus
- ÉditeurErès
- TraducteurPatrick Faugeras
Résumé
La pandémie a mis en exergue un nouveau genre de citoyenneté, jusque-là moins visible : le "citoyen-enfant" , celui qui a peu de lien avec le collectif, aucun respect pour l'autre, ne connaît pas les règles de la négociation sinon la superbe disparité entre lui et les autres. Les parents ont renoncé au rôle de guide pour devenir des protecteurs inconditionnels de leurs enfants : c'est le plusmaternel qui suspend le moment de la responsabilité.
Ainsi la famille, à l'origine de la civilisation, semble aujourd'hui ne plus assurer l'humanisation des enfants élevés en son sein. C'est une crise qui touche l'ensemble de la société car le social se construit déjà au sein de la famille. La génération qui a contesté élève des enfants et petits-enfants dociles, prêts à l'assujettissement. Que s'est-il passé ? Laura Pigozzi offre un plaidoyer pour l'avenir de nos enfants, pour que nous ne les angoissions pas avec nos propres peurs.
Laissons-les partir hors de la sphère utérine. Car la subjectivité n'est pas qu'une affaire intime, elle ne peut exister qu'à travers le lien collectif : le reconnaître est déjà une révolution.
Ainsi la famille, à l'origine de la civilisation, semble aujourd'hui ne plus assurer l'humanisation des enfants élevés en son sein. C'est une crise qui touche l'ensemble de la société car le social se construit déjà au sein de la famille. La génération qui a contesté élève des enfants et petits-enfants dociles, prêts à l'assujettissement. Que s'est-il passé ? Laura Pigozzi offre un plaidoyer pour l'avenir de nos enfants, pour que nous ne les angoissions pas avec nos propres peurs.
Laissons-les partir hors de la sphère utérine. Car la subjectivité n'est pas qu'une affaire intime, elle ne peut exister qu'à travers le lien collectif : le reconnaître est déjà une révolution.
La pandémie a mis en exergue un nouveau genre de citoyenneté, jusque-là moins visible : le "citoyen-enfant" , celui qui a peu de lien avec le collectif, aucun respect pour l'autre, ne connaît pas les règles de la négociation sinon la superbe disparité entre lui et les autres. Les parents ont renoncé au rôle de guide pour devenir des protecteurs inconditionnels de leurs enfants : c'est le plusmaternel qui suspend le moment de la responsabilité.
Ainsi la famille, à l'origine de la civilisation, semble aujourd'hui ne plus assurer l'humanisation des enfants élevés en son sein. C'est une crise qui touche l'ensemble de la société car le social se construit déjà au sein de la famille. La génération qui a contesté élève des enfants et petits-enfants dociles, prêts à l'assujettissement. Que s'est-il passé ? Laura Pigozzi offre un plaidoyer pour l'avenir de nos enfants, pour que nous ne les angoissions pas avec nos propres peurs.
Laissons-les partir hors de la sphère utérine. Car la subjectivité n'est pas qu'une affaire intime, elle ne peut exister qu'à travers le lien collectif : le reconnaître est déjà une révolution.
Ainsi la famille, à l'origine de la civilisation, semble aujourd'hui ne plus assurer l'humanisation des enfants élevés en son sein. C'est une crise qui touche l'ensemble de la société car le social se construit déjà au sein de la famille. La génération qui a contesté élève des enfants et petits-enfants dociles, prêts à l'assujettissement. Que s'est-il passé ? Laura Pigozzi offre un plaidoyer pour l'avenir de nos enfants, pour que nous ne les angoissions pas avec nos propres peurs.
Laissons-les partir hors de la sphère utérine. Car la subjectivité n'est pas qu'une affaire intime, elle ne peut exister qu'à travers le lien collectif : le reconnaître est déjà une révolution.