Un hiver japonais

Par : Marianne North
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  • Nombre de pages94
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.3 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 0,6 cm
  • ISBN978-2-35074-810-8
  • EAN9782350748108
  • Date de parution12/09/2025
  • CollectionTraces & Fragments
  • ÉditeurMagellan & Cie
  • TraducteurChristine Ribardière
  • TraducteurMichelle Deperrois-Fayet
  • PréfacierAlain Quella-Villéger

Résumé

"Le Fujiyama apparaît à la lumière du jour naissant. Je regarde le soleil s'élever au-dessus de la mer ; il rougit le sommet de la montagne rappelant les peintures des éventails et des plateaux à thés (...). La côte luxuriante est découpée et parsemée d'îles et de rochers. Quel spectacle de voir les bateaux remplis d'hommes minuscules vêtus de tenues étranges ! Tous portent une drôle de touffe de cheveux noirs enroulée autour de leur crâne chauve ; leurs façons de faire sont tellement différentes du reste du monde ! " " L'Angleterre a connu au XIXe siècle son lot de voyageuses intrépides, figures emblématiques rappelant combien nombre de femmes ont été assez audacieuses pour s'affranchir des interdits comme des contingences et suffisamment transgressives pour se vouloir Ulysse plutôt que Pénélope en tentant l'expérience du vaste monde.
Marianne North, "la voyageuse" - ainsi Virginia Woolf la définit-elle sobrement -, fut l'une de ces grandes nomades victoriennes, certes tôt remarquée en France, mais jamais traduite en français. Ses départs ne résultent pas d'une oisiveté fortunée et ennuyée, ils témoignent au contraire de la quête pleinement esthétique et scientifique menée par cette remarquable peintre botaniste. "
"Le Fujiyama apparaît à la lumière du jour naissant. Je regarde le soleil s'élever au-dessus de la mer ; il rougit le sommet de la montagne rappelant les peintures des éventails et des plateaux à thés (...). La côte luxuriante est découpée et parsemée d'îles et de rochers. Quel spectacle de voir les bateaux remplis d'hommes minuscules vêtus de tenues étranges ! Tous portent une drôle de touffe de cheveux noirs enroulée autour de leur crâne chauve ; leurs façons de faire sont tellement différentes du reste du monde ! " " L'Angleterre a connu au XIXe siècle son lot de voyageuses intrépides, figures emblématiques rappelant combien nombre de femmes ont été assez audacieuses pour s'affranchir des interdits comme des contingences et suffisamment transgressives pour se vouloir Ulysse plutôt que Pénélope en tentant l'expérience du vaste monde.
Marianne North, "la voyageuse" - ainsi Virginia Woolf la définit-elle sobrement -, fut l'une de ces grandes nomades victoriennes, certes tôt remarquée en France, mais jamais traduite en français. Ses départs ne résultent pas d'une oisiveté fortunée et ennuyée, ils témoignent au contraire de la quête pleinement esthétique et scientifique menée par cette remarquable peintre botaniste. "