Un festin de miettes

Par : Vincent Gagnepain
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages118
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.17 kg
  • Dimensions14,7 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN979-10-90296-43-5
  • EAN9791090296435
  • Date de parution01/01/2014
  • ÉditeurPrestance

Résumé

T'es sûre que tu ne veux pas mon mouchoir ? si ? Tiens. Ma veste n'a pas tout pompé. Qu'est-ce que tu es jolie quand tu souris à travers tes larmes ! Un soir pourpre, identique aux autres, descends majestueusement sur l'éternelle histoire. Un petit garçon perdu cache ses sandales sous un massif de bougainvillier pour courir dans la brousse. Il n'a cure des serpents et ses pieds sont cornés. Il a des aventures dans la tête, que lui raconte son coeur et qui rythment ses foulées.
Il ne pleure pas sur la mort qui est à l'autre bout de la vie, si loin, si loin. Et puis d'abord, la mort n'existe pas. Seule l'absence... Dernier mot. J'ai rentré la mine du stylo et je l'ai posé sur un coin de la table où il a subi le sort de tous les stylos : il a disparu. C'est leur fatalité. L'amuse aussi prit ses congés et mon errance, de nouvelles modalités.
T'es sûre que tu ne veux pas mon mouchoir ? si ? Tiens. Ma veste n'a pas tout pompé. Qu'est-ce que tu es jolie quand tu souris à travers tes larmes ! Un soir pourpre, identique aux autres, descends majestueusement sur l'éternelle histoire. Un petit garçon perdu cache ses sandales sous un massif de bougainvillier pour courir dans la brousse. Il n'a cure des serpents et ses pieds sont cornés. Il a des aventures dans la tête, que lui raconte son coeur et qui rythment ses foulées.
Il ne pleure pas sur la mort qui est à l'autre bout de la vie, si loin, si loin. Et puis d'abord, la mort n'existe pas. Seule l'absence... Dernier mot. J'ai rentré la mine du stylo et je l'ai posé sur un coin de la table où il a subi le sort de tous les stylos : il a disparu. C'est leur fatalité. L'amuse aussi prit ses congés et mon errance, de nouvelles modalités.