Mes Très Chers Vous,
Depuis que j’ai commencé l'écriture de "Ils étaient vingt et cent", je voulais visiter un camp de concentration.
Drôle d’idée me direz-vous, et bien c’est une lubie que j’avais. Que j’avais car il y a quelques mois, j’étais en visite au Struthof - Camp de Natzweiler en Alsace. Je ne vais pas ici vous faire le compte rendu de cette visite, mais c’est plus fort que moi, dès qu’il y a une librairie, faut que j’y traîne mes guêtres.
J’ai acheté plusieurs ouvrages, dont cette bande dessinée.
L’histoire du petit Raymond, un gamin d’une dizaine d’année. Son père vit à Strasbourg, il envoie son fils en vacances chez son oncle, à la campagne, à la ferme du Struthof. Sauf qu’il ne sait pas qu’un camp est là-bas…
On fait une immersion en 1942, une double histoire.
Celle d’un môme qui découvre la différence entre la Wehrmacht et la Waffen SS, qui découvre ce qu’est un camp de concentration, l’antichambre de l’enfer. Comment un gamin joue et réalise ce qui se passe autour de lui. Son oncle qui a refusé de quitter les lieux, qui est assigné à résidence.
Puis l’histoire de cinq déportés qui vont s’enfuir de ce camp… un sera repris et exécuté, les quatre autres seront sauf et passeront en zone libre. C’est la seule évasion qui a réussi en cet endroit maudit…
Une bande dessinée réaliste, qui fait comprendre ce que ressentaient les gens du coin, leur région ayant été indexée par le Reich. Les traits sont classiques, le dessin est sobre, ce qui sied au sujet.
Le KL – Natzeweiler était un camp de concentration, pas d’extermination. Là-bas, on tuait par le travail, pas d’exécution massive. Mais on y mourrait, et la déshumanisation mise en place par le régime nazi était en vigueur.
A la fin de cette BD, 16 pages avec photo sur l’histoire des camps, et plus particulièrement celle du Struthof réalisées par Robert STEEGMAN, professeur agrégé d’histoire.
Stanislas Petrosky.
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2018/06/30/36526626.html
Mes Très Chers Vous,
Depuis que j’ai commencé l'écriture de "Ils étaient vingt et cent", je voulais visiter un camp de concentration.
Drôle d’idée me direz-vous, et bien c’est une lubie que j’avais. Que j’avais car il y a quelques mois, j’étais en visite au Struthof - Camp de Natzweiler en Alsace. Je ne vais pas ici vous faire le compte rendu de cette visite, mais c’est plus fort que moi, dès qu’il y a une librairie, faut que j’y traîne mes guêtres.
J’ai acheté plusieurs ouvrages, dont cette bande dessinée.
L’histoire du petit Raymond, un gamin d’une dizaine d’année. Son père vit à Strasbourg, il envoie son fils en vacances chez son oncle, à la campagne, à la ferme du Struthof. Sauf qu’il ne sait pas qu’un camp est là-bas…
On fait une immersion en 1942, une double histoire.
Celle d’un môme qui découvre la différence entre la Wehrmacht et la Waffen SS, qui découvre ce qu’est un camp de concentration, l’antichambre de l’enfer. Comment un gamin joue et réalise ce qui se passe autour de lui. Son oncle qui a refusé de quitter les lieux, qui est assigné à résidence.
Puis l’histoire de cinq déportés qui vont s’enfuir de ce camp… un sera repris et exécuté, les quatre autres seront sauf et passeront en zone libre. C’est la seule évasion qui a réussi en cet endroit maudit…
Une bande dessinée réaliste, qui fait comprendre ce que ressentaient les gens du coin, leur région ayant été indexée par le Reich. Les traits sont classiques, le dessin est sobre, ce qui sied au sujet.
Le KL – Natzeweiler était un camp de concentration, pas d’extermination. Là-bas, on tuait par le travail, pas d’exécution massive. Mais on y mourrait, et la déshumanisation mise en place par le régime nazi était en vigueur.
A la fin de cette BD, 16 pages avec photo sur l’histoire des camps, et plus particulièrement celle du Struthof réalisées par Robert STEEGMAN, professeur agrégé d’histoire.
Stanislas Petrosky.
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2018/06/30/36526626.html