Un combattant républicain dans la guerre d'Espagne
Par : ,Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages255
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.335 kg
- Dimensions14,2 cm × 21,1 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-86266-779-9
- EAN9782862667799
- Date de parution05/11/2020
- ÉditeurLoubatières
- PréfacierJean Franco
Résumé
Rare témoignage d'un paysan andalou né en 1908, Francisco Garcia Barrera, qui prit les armes dès le 18 juillet 1936 pour défendre la République espagnole. Humble paysan sans terre, c'est son engagement politique et syndical - il était secrétaire de la CNT (anarcho-syndicaliste) pour la zone d'Utrera - qui l'amène à s'engager pour défendre la République espagnole. D'Utrera jusqu'à la frontière française, il a vécu toute la guerre, du premier jour jusqu'à la Retirada en février 1939.
Francisco se dévoue totalement à sa cause (il est blessé et hospitalisé plusieurs fois), mais ressent profondément les destructions que la guerre inflige à la terre et les ravages des champs et des cultures. D'une loyauté sans faille, il observe et déplore les incapacités du commandement républicain déchiré en tendances contradictoires. Francisco décrit avec exactitude les espoirs de victoire, les déroutes, les retraites, l'exode des populations civiles...
Au bout du bout, ce sont les derniers moments en Espagne, à Mollô, à deux pas de la frontière, lorsqu'il faut se résoudre à traverser, à abandonner la patrie sans espoir de retour. C'est sur ce saut dans le vide que s'achève le récit d'un homme dévoué à son idéal, un militant de la dignité et de l'abnégation.
Francisco se dévoue totalement à sa cause (il est blessé et hospitalisé plusieurs fois), mais ressent profondément les destructions que la guerre inflige à la terre et les ravages des champs et des cultures. D'une loyauté sans faille, il observe et déplore les incapacités du commandement républicain déchiré en tendances contradictoires. Francisco décrit avec exactitude les espoirs de victoire, les déroutes, les retraites, l'exode des populations civiles...
Au bout du bout, ce sont les derniers moments en Espagne, à Mollô, à deux pas de la frontière, lorsqu'il faut se résoudre à traverser, à abandonner la patrie sans espoir de retour. C'est sur ce saut dans le vide que s'achève le récit d'un homme dévoué à son idéal, un militant de la dignité et de l'abnégation.
Rare témoignage d'un paysan andalou né en 1908, Francisco Garcia Barrera, qui prit les armes dès le 18 juillet 1936 pour défendre la République espagnole. Humble paysan sans terre, c'est son engagement politique et syndical - il était secrétaire de la CNT (anarcho-syndicaliste) pour la zone d'Utrera - qui l'amène à s'engager pour défendre la République espagnole. D'Utrera jusqu'à la frontière française, il a vécu toute la guerre, du premier jour jusqu'à la Retirada en février 1939.
Francisco se dévoue totalement à sa cause (il est blessé et hospitalisé plusieurs fois), mais ressent profondément les destructions que la guerre inflige à la terre et les ravages des champs et des cultures. D'une loyauté sans faille, il observe et déplore les incapacités du commandement républicain déchiré en tendances contradictoires. Francisco décrit avec exactitude les espoirs de victoire, les déroutes, les retraites, l'exode des populations civiles...
Au bout du bout, ce sont les derniers moments en Espagne, à Mollô, à deux pas de la frontière, lorsqu'il faut se résoudre à traverser, à abandonner la patrie sans espoir de retour. C'est sur ce saut dans le vide que s'achève le récit d'un homme dévoué à son idéal, un militant de la dignité et de l'abnégation.
Francisco se dévoue totalement à sa cause (il est blessé et hospitalisé plusieurs fois), mais ressent profondément les destructions que la guerre inflige à la terre et les ravages des champs et des cultures. D'une loyauté sans faille, il observe et déplore les incapacités du commandement républicain déchiré en tendances contradictoires. Francisco décrit avec exactitude les espoirs de victoire, les déroutes, les retraites, l'exode des populations civiles...
Au bout du bout, ce sont les derniers moments en Espagne, à Mollô, à deux pas de la frontière, lorsqu'il faut se résoudre à traverser, à abandonner la patrie sans espoir de retour. C'est sur ce saut dans le vide que s'achève le récit d'un homme dévoué à son idéal, un militant de la dignité et de l'abnégation.