Jean Maleterre, à l'aube de la soixantaine, trente, en partant pour le Nouveau-Mexique, de retrouver son identité parmi les indiens Pueblos qu'il avait connus lors d'un premier séjour.
La permanence en lui des échos lointains mais toujours vivaces d'un vieux " rêve américain " favorise cette nouvelle quête de l'enfance, renforcée par l'évocation du récit d'un grand-oncle qui, lui aussi, tout au début du siècle, avait consigné sa propre aventure adolescente, dans le campo de l'Uruguay. Ces trois " paysages " se conjuguent en contrepoint, pour former une mythologie personnelle dan laquelle Jean Maleterre se réfugie pour tromper son exil.
Mais il entendra les Indiens lui dire : " Tu es de la terre qui t'a fait naître ; tes dieux sont là-bas, où le Soleil se lève. Même si cette terre défigurée, profanée est devenue une " réserve " elle sera ton cimetière indien. ".
Jean Maleterre, à l'aube de la soixantaine, trente, en partant pour le Nouveau-Mexique, de retrouver son identité parmi les indiens Pueblos qu'il avait connus lors d'un premier séjour.
La permanence en lui des échos lointains mais toujours vivaces d'un vieux " rêve américain " favorise cette nouvelle quête de l'enfance, renforcée par l'évocation du récit d'un grand-oncle qui, lui aussi, tout au début du siècle, avait consigné sa propre aventure adolescente, dans le campo de l'Uruguay. Ces trois " paysages " se conjuguent en contrepoint, pour former une mythologie personnelle dan laquelle Jean Maleterre se réfugie pour tromper son exil.
Mais il entendra les Indiens lui dire : " Tu es de la terre qui t'a fait naître ; tes dieux sont là-bas, où le Soleil se lève. Même si cette terre défigurée, profanée est devenue une " réserve " elle sera ton cimetière indien. ".