Un certain mois d'avril à Adana

Par : Daniel Arsand

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  • Nombre de pages208
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.272 kg
  • Dimensions12,2 cm × 18,0 cm × 2,3 cm
  • ISBN978-2-7529-0809-4
  • EAN9782752908094
  • Date de parution05/03/2015
  • CollectionLibretto
  • ÉditeurPhébus (Editions)

Résumé

Nous sommes en avril 1909 à Adana, au sud de la Turquie. Adana, dans l'opulente plaine de Cilicie, vit à trente kilomètres des côtes méditerranéennes autour de ses champs de coton et de ses vergers. Qui aurait pu prévoir que des massacres...
Nous sommes en avril 1909 à Adana, au sud de la Turquie. Adana, dans l'opulente plaine de Cilicie, vit à trente kilomètres des côtes méditerranéennes autour de ses champs de coton et de ses vergers. Qui aurait pu prévoir que des massacres...

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 2 notes dont 1 avis lecteur
Un certain mois d'avril 1915
Le silence, c’est ce dont on a besoin en refermant ce livre. Après les mots de l’auteur, après la violence des faits, seul le silence permet de revenir au calme. Car entrer dans le récit, c’est entrer dans la ville d’Adana à la veille de Pâques 1908. On y découvre une communauté arménienne présente depuis des siècles en Cilicie et au passé riche. Mais un événement va déclencher la haine et le ressentiment entre communauté turque et arménienne. Avec des phrases ciselées, des adjectifs évocateurs, l’auteur nous plonge peu à peu au coeur du drame. Avec beaucoup de poésie, il nous décrit le massacre d’Adana et des villages environnant. Les noms des personnages sont répétés, comme une litanie, afin qu’il se gravent dans nos mémoires et que l’on ne les oublie pas. Loin de toute polémique politicienne, l’écrivain romance le massacre d’Adana. Ainsi, il ne sera plus couvert de silence. Un roman fort sur une page d’histoire sombre. L’image que je reteindrai : Celle du train arrêté en gare d’Adana, mais qui, le dernier matin, ne démarrera pas. https://alexmotamots.wordpress.com/2015/05/15/un-certain-mois-davril-a-adana-daniel-arsand
Le silence, c’est ce dont on a besoin en refermant ce livre. Après les mots de l’auteur, après la violence des faits, seul le silence permet de revenir au calme. Car entrer dans le récit, c’est entrer dans la ville d’Adana à la veille de Pâques 1908. On y découvre une communauté arménienne présente depuis des siècles en Cilicie et au passé riche. Mais un événement va déclencher la haine et le ressentiment entre communauté turque et arménienne. Avec des phrases ciselées, des adjectifs évocateurs, l’auteur nous plonge peu à peu au coeur du drame. Avec beaucoup de poésie, il nous décrit le massacre d’Adana et des villages environnant. Les noms des personnages sont répétés, comme une litanie, afin qu’il se gravent dans nos mémoires et que l’on ne les oublie pas. Loin de toute polémique politicienne, l’écrivain romance le massacre d’Adana. Ainsi, il ne sera plus couvert de silence. Un roman fort sur une page d’histoire sombre. L’image que je reteindrai : Celle du train arrêté en gare d’Adana, mais qui, le dernier matin, ne démarrera pas. https://alexmotamots.wordpress.com/2015/05/15/un-certain-mois-davril-a-adana-daniel-arsand
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