Un cercle autour de Murambi, le livre des ossements. Actes des Journées de réflexion autour de Boubacar Boris Diop (février 2022) (suivi du discours inaugural de Neustadt)
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- Nombre de pages188
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.31 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-14-034210-3
- EAN9782140342103
- Date de parution03/11/2023
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierMaïmouna Coulibaly
Résumé
Ce recueil de textes naît d'un défi : celui de proposer un espace où le verbe retrouve sa vertu du " com-partir ", une tradition de cercle de retrouvailles, de grin mandingue, qui organise une circulation de mots traversant avec émotion, le plafond des toits. Mots d'amitiés et de fraternité des unes et des uns qui racontent la proximité solidaire avec l'auteur de Murambi, le livre des ossements ; mots d'éminents critiques littéraires rompus à l'art de décortiquer les gousses de la parole pour en offrir au lecteur, la graine, la cohérence dénudée, le sens caché ; mots de victoire sur le silence et l'innommable, non de triomphe.
Parce que ces mots-là de Murambi, dont le romancier disait qu'ils n'en peuvent plus et qu'ils ne savent plus quoi dire, ont cheminé jusqu'au delta de la témérité et de l'innocence perdue : prendre à témoin l'humanité, au-delà de nos mudugudu, nos collines, nos prairies, nos océans ; nos sahels, nos icebergs pour asséner comme un leitmotiv : un génocide parle à chaque société humaine de son essentielle fragilité.
Et donc nous concerne tous. Koulsy Lamko
Parce que ces mots-là de Murambi, dont le romancier disait qu'ils n'en peuvent plus et qu'ils ne savent plus quoi dire, ont cheminé jusqu'au delta de la témérité et de l'innocence perdue : prendre à témoin l'humanité, au-delà de nos mudugudu, nos collines, nos prairies, nos océans ; nos sahels, nos icebergs pour asséner comme un leitmotiv : un génocide parle à chaque société humaine de son essentielle fragilité.
Et donc nous concerne tous. Koulsy Lamko
Ce recueil de textes naît d'un défi : celui de proposer un espace où le verbe retrouve sa vertu du " com-partir ", une tradition de cercle de retrouvailles, de grin mandingue, qui organise une circulation de mots traversant avec émotion, le plafond des toits. Mots d'amitiés et de fraternité des unes et des uns qui racontent la proximité solidaire avec l'auteur de Murambi, le livre des ossements ; mots d'éminents critiques littéraires rompus à l'art de décortiquer les gousses de la parole pour en offrir au lecteur, la graine, la cohérence dénudée, le sens caché ; mots de victoire sur le silence et l'innommable, non de triomphe.
Parce que ces mots-là de Murambi, dont le romancier disait qu'ils n'en peuvent plus et qu'ils ne savent plus quoi dire, ont cheminé jusqu'au delta de la témérité et de l'innocence perdue : prendre à témoin l'humanité, au-delà de nos mudugudu, nos collines, nos prairies, nos océans ; nos sahels, nos icebergs pour asséner comme un leitmotiv : un génocide parle à chaque société humaine de son essentielle fragilité.
Et donc nous concerne tous. Koulsy Lamko
Parce que ces mots-là de Murambi, dont le romancier disait qu'ils n'en peuvent plus et qu'ils ne savent plus quoi dire, ont cheminé jusqu'au delta de la témérité et de l'innocence perdue : prendre à témoin l'humanité, au-delà de nos mudugudu, nos collines, nos prairies, nos océans ; nos sahels, nos icebergs pour asséner comme un leitmotiv : un génocide parle à chaque société humaine de son essentielle fragilité.
Et donc nous concerne tous. Koulsy Lamko