Né en 1914 à Saint Louis, Missouri, William Burroughs est le petit-fils de l'inventeur de la machine à calculer du même nom. Après avoir été "l'homme de tous les métiers", il commença d'écrire à l'âge de trente-cinq ans. Héroïnomane, homosexuel, amateur d'armes à feu, il fut l'écrivain le plus original de la "Beat Generation". Il est mort en 1997 à Lawrence, Kansas.
Ultimes paroles. Les derniers journaux de William Burroughs
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- Nombre de pages339
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.235 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-267-01885-1
- EAN9782267018851
- Date de parution11/01/2007
- CollectionTitres
- ÉditeurChristian Bourgois
- TraducteurMona de Pracontal
Résumé
Vers la fin de sa vie, Burroughs handicapé par l'arthrite, ne peut plus taper à la machine : Ses proches ont alors l'idée de lui donner des livres blancs : de novembre 1996 à fin juillet 1997, il y consignera son journal intime. New York Mexico, Paris : W. Burroughs interroge une vie de came ci d'écriture, convoquant, entre autres, Shakespeare, Conrad et Yeats, Allen Ginsberg, Timothy Leary, Brion Gysin et ses chats bien-aimés dans un ultime effort pour décrypter et guérir le monde menacé par le mal, la bêtise, la conspiration internationale du mensonge, les extra-terrestres et les mille-pattes cauchemardesques qui vous rongent la moelle.
L'écriture s'affirme comme son arme et sa mission, la morphine comme le chemin qui l'aura mené à sa propre vérité. Ultime pirouette d'un éternel rebelle, Burroughs nous laisse un testament de garçon sauvage, en forme de cut-up, son dernier journal de combat.
L'écriture s'affirme comme son arme et sa mission, la morphine comme le chemin qui l'aura mené à sa propre vérité. Ultime pirouette d'un éternel rebelle, Burroughs nous laisse un testament de garçon sauvage, en forme de cut-up, son dernier journal de combat.
Vers la fin de sa vie, Burroughs handicapé par l'arthrite, ne peut plus taper à la machine : Ses proches ont alors l'idée de lui donner des livres blancs : de novembre 1996 à fin juillet 1997, il y consignera son journal intime. New York Mexico, Paris : W. Burroughs interroge une vie de came ci d'écriture, convoquant, entre autres, Shakespeare, Conrad et Yeats, Allen Ginsberg, Timothy Leary, Brion Gysin et ses chats bien-aimés dans un ultime effort pour décrypter et guérir le monde menacé par le mal, la bêtise, la conspiration internationale du mensonge, les extra-terrestres et les mille-pattes cauchemardesques qui vous rongent la moelle.
L'écriture s'affirme comme son arme et sa mission, la morphine comme le chemin qui l'aura mené à sa propre vérité. Ultime pirouette d'un éternel rebelle, Burroughs nous laisse un testament de garçon sauvage, en forme de cut-up, son dernier journal de combat.
L'écriture s'affirme comme son arme et sa mission, la morphine comme le chemin qui l'aura mené à sa propre vérité. Ultime pirouette d'un éternel rebelle, Burroughs nous laisse un testament de garçon sauvage, en forme de cut-up, son dernier journal de combat.