Turbulences et accalmies d'une existence. Autobiographie
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- Nombre de pages214
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.26 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-343-17087-9
- EAN9782343170879
- Date de parution29/03/2019
- CollectionLittératures et cultures afro-
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierMarie-Rose Abomo-Maurin
Résumé
Dans le langage des uns et des autres, nous sommes quelquefois amenés à entendre, "le hasard fait bien les choses" ou encore "c'est un mal pour un bien" ou l'inverse (...). L'auteur retient de sa vie l'instant présent pendant lequel il ose, avec fierté, regarder dans son rétroviseur, afin de revivre son bonheur à la Bonnie, de garder son insouciance face aux aléas de sa vie, d'apprécier et de mesurer l'intérêt qu'il y a à avoir une famille.
Sa vie ne fut pas et n'est pas comparable à celle du Nil, c'est-à-dire un long fleuve tranquille, aux couleurs blanche, bleue, et dont le bassin ou le delta, en matérialise la composition. Bien au contraire, des épisodes ou des faits, comme son enfance à la Bonnie, sa paralysie et l'intervention chirurgicale du 14 avril 2015, auraient pu faire de lui cet être condamné par le destin et la naissance, ou pire, un trépassé qui ne serait pas là aujourd'hui pour narrer son existence.
La vie est ainsi faite et il convient de l'accepter au deuxième degré, c'est-à-dire, comme une vaste galéjade. Il faut être optimiste. Il faut rêver et devenir les adeptes du vieil adage qui dit que : "l'espoir fait vivre" sans pour autant oublier qu'il appartient à chacun de se donner et d'entretenir les moyens pour vivre d'espoir.
Sa vie ne fut pas et n'est pas comparable à celle du Nil, c'est-à-dire un long fleuve tranquille, aux couleurs blanche, bleue, et dont le bassin ou le delta, en matérialise la composition. Bien au contraire, des épisodes ou des faits, comme son enfance à la Bonnie, sa paralysie et l'intervention chirurgicale du 14 avril 2015, auraient pu faire de lui cet être condamné par le destin et la naissance, ou pire, un trépassé qui ne serait pas là aujourd'hui pour narrer son existence.
La vie est ainsi faite et il convient de l'accepter au deuxième degré, c'est-à-dire, comme une vaste galéjade. Il faut être optimiste. Il faut rêver et devenir les adeptes du vieil adage qui dit que : "l'espoir fait vivre" sans pour autant oublier qu'il appartient à chacun de se donner et d'entretenir les moyens pour vivre d'espoir.
Dans le langage des uns et des autres, nous sommes quelquefois amenés à entendre, "le hasard fait bien les choses" ou encore "c'est un mal pour un bien" ou l'inverse (...). L'auteur retient de sa vie l'instant présent pendant lequel il ose, avec fierté, regarder dans son rétroviseur, afin de revivre son bonheur à la Bonnie, de garder son insouciance face aux aléas de sa vie, d'apprécier et de mesurer l'intérêt qu'il y a à avoir une famille.
Sa vie ne fut pas et n'est pas comparable à celle du Nil, c'est-à-dire un long fleuve tranquille, aux couleurs blanche, bleue, et dont le bassin ou le delta, en matérialise la composition. Bien au contraire, des épisodes ou des faits, comme son enfance à la Bonnie, sa paralysie et l'intervention chirurgicale du 14 avril 2015, auraient pu faire de lui cet être condamné par le destin et la naissance, ou pire, un trépassé qui ne serait pas là aujourd'hui pour narrer son existence.
La vie est ainsi faite et il convient de l'accepter au deuxième degré, c'est-à-dire, comme une vaste galéjade. Il faut être optimiste. Il faut rêver et devenir les adeptes du vieil adage qui dit que : "l'espoir fait vivre" sans pour autant oublier qu'il appartient à chacun de se donner et d'entretenir les moyens pour vivre d'espoir.
Sa vie ne fut pas et n'est pas comparable à celle du Nil, c'est-à-dire un long fleuve tranquille, aux couleurs blanche, bleue, et dont le bassin ou le delta, en matérialise la composition. Bien au contraire, des épisodes ou des faits, comme son enfance à la Bonnie, sa paralysie et l'intervention chirurgicale du 14 avril 2015, auraient pu faire de lui cet être condamné par le destin et la naissance, ou pire, un trépassé qui ne serait pas là aujourd'hui pour narrer son existence.
La vie est ainsi faite et il convient de l'accepter au deuxième degré, c'est-à-dire, comme une vaste galéjade. Il faut être optimiste. Il faut rêver et devenir les adeptes du vieil adage qui dit que : "l'espoir fait vivre" sans pour autant oublier qu'il appartient à chacun de se donner et d'entretenir les moyens pour vivre d'espoir.




