Trois poètes vénézuéliens

Par : Rafael Cadenas, Eugenio Montejo, Luis Alberto Crespo

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  • Nombre de pages270
  • PrésentationBroché
  • Poids0.335 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-915099-82-9
  • EAN9782915099829
  • Date de parution13/03/2014
  • ÉditeurMurmure (Le)
  • TraducteurFrançois Migeot

Résumé

Cette anthologie bilingue offre une sélection, une traduction et une présentation des textes de trois des plus grands poètes que le XXe siècle ait donné au Venezuela, donnant ainsi accès à leurs oeuvres au lectorat français. La poésie - "intranquille", sans concession ni séduction - de Rafael Cadenas est traversée par une acerbe lucidité qui dit à la fois l'espoir qui fonde l'aventure du poème et l'amertume qui résulte de cette chasse impossible et cependant inéluctable.
Pour sa part, la poésie de Eugenio Montejo est celle d'une célébration - celle de la présence du monde et au monde, toujours évanescente - et celle d'une tentative pour la fixer en mots, la sauver du fugitif, tout en sachant que la lumière du bonheur est frappée par l'ombre de la perte. Quant à celle de Luis-Alberto Crespo, elle procède d'une poétique de l'éclat. Les images ne fleurissent qu'une fois, dans l'éblouissement et la stupeur, puis laissent de nouveau le silence retomber sur le vide.
Cette anthologie bilingue offre une sélection, une traduction et une présentation des textes de trois des plus grands poètes que le XXe siècle ait donné au Venezuela, donnant ainsi accès à leurs oeuvres au lectorat français. La poésie - "intranquille", sans concession ni séduction - de Rafael Cadenas est traversée par une acerbe lucidité qui dit à la fois l'espoir qui fonde l'aventure du poème et l'amertume qui résulte de cette chasse impossible et cependant inéluctable.
Pour sa part, la poésie de Eugenio Montejo est celle d'une célébration - celle de la présence du monde et au monde, toujours évanescente - et celle d'une tentative pour la fixer en mots, la sauver du fugitif, tout en sachant que la lumière du bonheur est frappée par l'ombre de la perte. Quant à celle de Luis-Alberto Crespo, elle procède d'une poétique de l'éclat. Les images ne fleurissent qu'une fois, dans l'éblouissement et la stupeur, puis laissent de nouveau le silence retomber sur le vide.