Pour quelle raison le choix s’est-il porté sur ces trois noms, de préférence à d’autres beaucoup plus connus et dont regorgent les Anthologies de la Littérature française ? A cause de leur mort. Parce qu’ils sont morts d’une mort inhabituelle, hors du lot commun : l’accident, l’âge, la maladie, dans des circonstances où se sont entrecroisées l’Histoire et la Fatalité, au point de donner à leur fin de vie la dimension d’un sacrifice auquel eux-mêmes n’auraient jamais songé.
Leur existence ne pouvait se satisfaire d’une vie de médiocrité sans fenêtre ouverte sur le rêve, l’inattendu, l’inaccessible. La tourmente fut leur quotidien.
Pour quelle raison le choix s’est-il porté sur ces trois noms, de préférence à d’autres beaucoup plus connus et dont regorgent les Anthologies de la Littérature française ? A cause de leur mort. Parce qu’ils sont morts d’une mort inhabituelle, hors du lot commun : l’accident, l’âge, la maladie, dans des circonstances où se sont entrecroisées l’Histoire et la Fatalité, au point de donner à leur fin de vie la dimension d’un sacrifice auquel eux-mêmes n’auraient jamais songé.
Leur existence ne pouvait se satisfaire d’une vie de médiocrité sans fenêtre ouverte sur le rêve, l’inattendu, l’inaccessible. La tourmente fut leur quotidien.