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Retrouvées dans les années 1960, à Giverny, chez ma grand-mère Germaine Saleron, fille cadette d'Alice et Ernest Hoschedé, ces trois lettres d'Edouard Manet me sont longtemps restées comme une énigme. Alors que je me décide aujourd'hui à les publier, rien n'est moins sûr que celle-ci soit résolue. Fort de toutes sortes d'informations que j'ai pu recueillir depuis leur découverte, leur mystère s'est toutefois en partie dissipé.
Peut-être un jour viendra où les quelques traces qu'elles en gardent encore disparaîtront définitivement. En cette attente, il m'a paru opportun de les rendre publiques de sorte qu'elles soient livrées à la connaissance et à la curiosité de ceux qui pourraient contribuer à la révélation complète de leur secret.