L'auteur des textes Née en 1993, Estelle Chauvard débute comme autrice de films d'animation (Le Bel Enfant, 2014) puis crée des vidéos en image animée pour des scénographies de spectacles de danse (Tombé du ciel, 2016 ; Les Secrets, 2022). En 2021, elle achève un premier travail d'enquête mêlant textes, dessins et photographies : la monographie de l'étrange paysagiste Danielle Dixe. Le postfacier Gilles A. Tiberghien, né en 1953, est un philosophe français, agrégé et docteur en philosophie, Maître de conférences à l'université Paris-I Panthéon Sorbonne où il enseigne l'esthétique. Il est membre du comité de rédaction des Cahiers du Musée d'art moderne. Il est, avec Jean-Marc Besse (directeur de recherche au CNRS), codirecteur de la rédaction des Carnets du paysage (Actes Sud).
Trois folies d'une paysagiste. Danielle Dixe à Lagrasse (1985-2008)
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- Nombre de pages88
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.42 kg
- Dimensions20,0 cm × 26,5 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-37649-026-5
- EAN9782376490265
- Date de parution01/10/2021
- CollectionRegard d'ailleurs
- ÉditeurCardère
- PostfacierGilles A. Tiberghien
- PréfacierBruno Msika
- PréfacierGuillaume Lebaudy
Résumé
LE JARDIN, TERRITOIRE INTERMEDIAIRE Disparue tragiquement à l'âge de 58 ans, la paysagiste Danielle Dixe (1950-2008) a créé trois jardins à Lagrasse (Aude) entre 1995 et 2008 : une adaptation du roman Vendredi ou Les Limbes du Pacifique de Michel Tournier ; une villa végétale ; une mobilisation paysagère contre la construction d'un parking en périphérie du village. Sur proposition de l'Association des Amis de Danielle Dixe et avec le soutien de la Maison du Banquet et des Générations (Lagrasse), Estelle Chauvard mène l'enquête et réunit des dessins et des manuscrits originaux de l'artiste, des photographies, des témoignages et des coupures de presse locale.
A travers l'histoire de ces jardins aujourd'hui disparus, Estelle Chauvard tente de saisir la réflexion expérimentale qui a animé Danielle Dixe sur la possible intrication entre nature rêvée et paysage réel, entre intérieur (architecture) et extérieur (environnement), et sur la revendication du territoire comme outil de lutte sociale.
A travers l'histoire de ces jardins aujourd'hui disparus, Estelle Chauvard tente de saisir la réflexion expérimentale qui a animé Danielle Dixe sur la possible intrication entre nature rêvée et paysage réel, entre intérieur (architecture) et extérieur (environnement), et sur la revendication du territoire comme outil de lutte sociale.
LE JARDIN, TERRITOIRE INTERMEDIAIRE Disparue tragiquement à l'âge de 58 ans, la paysagiste Danielle Dixe (1950-2008) a créé trois jardins à Lagrasse (Aude) entre 1995 et 2008 : une adaptation du roman Vendredi ou Les Limbes du Pacifique de Michel Tournier ; une villa végétale ; une mobilisation paysagère contre la construction d'un parking en périphérie du village. Sur proposition de l'Association des Amis de Danielle Dixe et avec le soutien de la Maison du Banquet et des Générations (Lagrasse), Estelle Chauvard mène l'enquête et réunit des dessins et des manuscrits originaux de l'artiste, des photographies, des témoignages et des coupures de presse locale.
A travers l'histoire de ces jardins aujourd'hui disparus, Estelle Chauvard tente de saisir la réflexion expérimentale qui a animé Danielle Dixe sur la possible intrication entre nature rêvée et paysage réel, entre intérieur (architecture) et extérieur (environnement), et sur la revendication du territoire comme outil de lutte sociale.
A travers l'histoire de ces jardins aujourd'hui disparus, Estelle Chauvard tente de saisir la réflexion expérimentale qui a animé Danielle Dixe sur la possible intrication entre nature rêvée et paysage réel, entre intérieur (architecture) et extérieur (environnement), et sur la revendication du territoire comme outil de lutte sociale.