Aux confins des Alpes, à l'époque médiévale, une histoire qui s'empare de quelques-unes des questions qui taraudent notre modernité : la domination masculine, le hiatus entre la justice et la vengeance. A quoi s'ajoute ce personnage central de toute l'oeuvre de Laurine Roux : la nature, souveraine, promesse de refuge, immuable symbole de l'amour, de l'espoir et de la révolte. Aux confins des Alpes, à l'époque médiévale.
Hugon, seigneur de Bure, être cruel et tyrannique, marque son temps et sa lignée au fer rouge avec la bénédiction de l'Eglise. Encore adolescent, il n'hésite pas à accuser un innocent afin de couvrir un crime que lui-même venait de commettre. Un simulacre de procès conduira le pauvre homme au bûcher, où il brûlera sous les yeux de Gala, sa fille à la beauté irradiante. De ce jour, recluse dans les bois de Bénévent, Gala s'ensauvage.
Un jour, Hugon la soumet. De ce viol naissent trois enfants. Chaque nourrisson porte au cou la marque du seigneur de Bure, un coquelicot cousu à même la peau. L'accoucheuse confie Reine à Clarisse de Bure, épouse du seigneur, qui se croit stérile, et abandonne Ephraïm, garçon aux yeux vairons, sur le seuil d'un prieuré où un bénédictin l'élèvera comme son fils. Quant à la troisième nouvelle-née, laissée pour morte, elle sera l'idiote, l'attardée sublime, surnommée Mange-Ciel.
Tout en remontant la généalogie de cette histoire de pouvoir, de vengeance et de justice au temps du Moyen-Age, Trois fois la colère s'empare de quelques-unes des questions qui taraudent notre modernité : la domination masculine, le hiatus entre la justice et la vengeance, la tension entre l'empire du passé et les identités à inventer. A quoi s'ajoute ce personnage central de toute l'oeuvre de Laurine Roux : la nature.
La nature toujours souveraine, toujours promesse de refuge, immuable symbole de l'amour, de l'espoir et de la révolte.
Aux confins des Alpes, à l'époque médiévale, une histoire qui s'empare de quelques-unes des questions qui taraudent notre modernité : la domination masculine, le hiatus entre la justice et la vengeance. A quoi s'ajoute ce personnage central de toute l'oeuvre de Laurine Roux : la nature, souveraine, promesse de refuge, immuable symbole de l'amour, de l'espoir et de la révolte. Aux confins des Alpes, à l'époque médiévale.
Hugon, seigneur de Bure, être cruel et tyrannique, marque son temps et sa lignée au fer rouge avec la bénédiction de l'Eglise. Encore adolescent, il n'hésite pas à accuser un innocent afin de couvrir un crime que lui-même venait de commettre. Un simulacre de procès conduira le pauvre homme au bûcher, où il brûlera sous les yeux de Gala, sa fille à la beauté irradiante. De ce jour, recluse dans les bois de Bénévent, Gala s'ensauvage.
Un jour, Hugon la soumet. De ce viol naissent trois enfants. Chaque nourrisson porte au cou la marque du seigneur de Bure, un coquelicot cousu à même la peau. L'accoucheuse confie Reine à Clarisse de Bure, épouse du seigneur, qui se croit stérile, et abandonne Ephraïm, garçon aux yeux vairons, sur le seuil d'un prieuré où un bénédictin l'élèvera comme son fils. Quant à la troisième nouvelle-née, laissée pour morte, elle sera l'idiote, l'attardée sublime, surnommée Mange-Ciel.
Tout en remontant la généalogie de cette histoire de pouvoir, de vengeance et de justice au temps du Moyen-Age, Trois fois la colère s'empare de quelques-unes des questions qui taraudent notre modernité : la domination masculine, le hiatus entre la justice et la vengeance, la tension entre l'empire du passé et les identités à inventer. A quoi s'ajoute ce personnage central de toute l'oeuvre de Laurine Roux : la nature.
La nature toujours souveraine, toujours promesse de refuge, immuable symbole de l'amour, de l'espoir et de la révolte.