Ghazaros Aghaïan (1840 - 1911) célèbre écrivain, poète, linguiste, folkloriste arménien. Il consacra des années à lenseignement, sacquérant ainsi une remarquable réputation de pédagogue. Il a écrit non seulement pour les enfants, mais aussi pour les personnes de tout âge, des fables, des contes, des poésies. Il participa à la renaissance culturelle et intellectuelle de lArménie au XIXe siècle, aux côtés de Michael Nalbandian.
Trois contes de Ghazaros Aghaïan
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- Nombre de pages144
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.4 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-917329-55-9
- EAN9782917329559
- Date de parution09/09/2013
- ÉditeurSigest
- IllustrateurMartiros Sarian
- AdaptateurAlice Varvarian-Saboundjian
Résumé
Comment écrire encore quand tous ses frères d’âme ont été massacrés ? Ghazaros Aghaïan répond à cette question, qui paralyse sa plume, par le conte. Car le conte est l’arme discrète par excellence qui permettra au pédagogue d’aider le peuple arménien à retrouver son esprit. Pour y parvenir, il va puiser dans l’Arménie du Ve siècle, dit Siècle d’or, en prenant pour héroïne Anahit, belle, instruite, douée et ferme sur ses convictions.
Un modèle pour tous les âges, de la fillette à la femme mûre, qui allait devenir le symbole de l’Arménienne moderne. Que reste-t-il d’amour et de raison aux Arméniens quand une fillette de neuf ans est donnée comme épouse à un rustre berger avec la bénédiction du prêtre ? Pour rappeler la merveille du sentiment amoureux, Ghazaros Aghaïan écrit Arèknazane. Deux jeunes gens croisent leurs regards et voilà que tout est bouleversé.
Dès lors, le conteur mettra en scène la pureté, la pudeur et le mystère des inclinations juvéniles. Pour faire comprendre les méfaits d’une rumeur et comment l’oppresseur sait diviser ses sujets pour mieux les dominer, Ghazaros Aghaïan, avec Hazaran Bulbul, va se servir d’un conte arabe. Trois contes qui appellent constamment à les lire et relire tant ils sont simples et pénétrants.
Un modèle pour tous les âges, de la fillette à la femme mûre, qui allait devenir le symbole de l’Arménienne moderne. Que reste-t-il d’amour et de raison aux Arméniens quand une fillette de neuf ans est donnée comme épouse à un rustre berger avec la bénédiction du prêtre ? Pour rappeler la merveille du sentiment amoureux, Ghazaros Aghaïan écrit Arèknazane. Deux jeunes gens croisent leurs regards et voilà que tout est bouleversé.
Dès lors, le conteur mettra en scène la pureté, la pudeur et le mystère des inclinations juvéniles. Pour faire comprendre les méfaits d’une rumeur et comment l’oppresseur sait diviser ses sujets pour mieux les dominer, Ghazaros Aghaïan, avec Hazaran Bulbul, va se servir d’un conte arabe. Trois contes qui appellent constamment à les lire et relire tant ils sont simples et pénétrants.
Comment écrire encore quand tous ses frères d’âme ont été massacrés ? Ghazaros Aghaïan répond à cette question, qui paralyse sa plume, par le conte. Car le conte est l’arme discrète par excellence qui permettra au pédagogue d’aider le peuple arménien à retrouver son esprit. Pour y parvenir, il va puiser dans l’Arménie du Ve siècle, dit Siècle d’or, en prenant pour héroïne Anahit, belle, instruite, douée et ferme sur ses convictions.
Un modèle pour tous les âges, de la fillette à la femme mûre, qui allait devenir le symbole de l’Arménienne moderne. Que reste-t-il d’amour et de raison aux Arméniens quand une fillette de neuf ans est donnée comme épouse à un rustre berger avec la bénédiction du prêtre ? Pour rappeler la merveille du sentiment amoureux, Ghazaros Aghaïan écrit Arèknazane. Deux jeunes gens croisent leurs regards et voilà que tout est bouleversé.
Dès lors, le conteur mettra en scène la pureté, la pudeur et le mystère des inclinations juvéniles. Pour faire comprendre les méfaits d’une rumeur et comment l’oppresseur sait diviser ses sujets pour mieux les dominer, Ghazaros Aghaïan, avec Hazaran Bulbul, va se servir d’un conte arabe. Trois contes qui appellent constamment à les lire et relire tant ils sont simples et pénétrants.
Un modèle pour tous les âges, de la fillette à la femme mûre, qui allait devenir le symbole de l’Arménienne moderne. Que reste-t-il d’amour et de raison aux Arméniens quand une fillette de neuf ans est donnée comme épouse à un rustre berger avec la bénédiction du prêtre ? Pour rappeler la merveille du sentiment amoureux, Ghazaros Aghaïan écrit Arèknazane. Deux jeunes gens croisent leurs regards et voilà que tout est bouleversé.
Dès lors, le conteur mettra en scène la pureté, la pudeur et le mystère des inclinations juvéniles. Pour faire comprendre les méfaits d’une rumeur et comment l’oppresseur sait diviser ses sujets pour mieux les dominer, Ghazaros Aghaïan, avec Hazaran Bulbul, va se servir d’un conte arabe. Trois contes qui appellent constamment à les lire et relire tant ils sont simples et pénétrants.