Né le 7 décembre 1912 à Anglemont (Vosges), Henri Thomas, traducteur de Jünger et de Stifter, a vécu dix ans à Londres comme employé de la B.B.C. et deux ans aux États-Unis où il donnait des cours de littérature à l'université Brandeis. En 1992, il a reçu le grand prix de la Société des Gens de Lettres pour l'ensemble de son oeuvre. Il est mort le 3 novembre 1993 à Paris.
Trézeaux
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- Nombre de pages96
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.14 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 0,8 cm
- ISBN2-07-071678-3
- EAN9782070716784
- Date de parution12/01/1990
- CollectionBlanche
- ÉditeurGallimard
Résumé
Le mot trézeaux, encore employé dans la plaine vosgienne, désigne trois gerbes de blé qui reposent en faisceau sur le chaume après la moisson, attendant d'être rentrées pour le battage. Dans ce nouveau recueil, Henri Thomas a rassemblé soixante-seize poèmes. A cause de ce qu'elle a, non pas d'insaisissable, mais de non conforme aux schémas de l'enseignement et de la critique, trop peu de gens se sont aperçus jusqu'à maintenant de l'originalité absolue de la poésie d'Henri Thomas.
Son ostensible négligence est une rouerie de grand seigneur. Il est peut-être le seul poète français qui sache, comme certains grands Anglais, naviguer à égale distance des profondes sources personnelles et du poème comme objet fini. Il sait être toujours la voix d'une liberté vivante.
Son ostensible négligence est une rouerie de grand seigneur. Il est peut-être le seul poète français qui sache, comme certains grands Anglais, naviguer à égale distance des profondes sources personnelles et du poème comme objet fini. Il sait être toujours la voix d'une liberté vivante.
Le mot trézeaux, encore employé dans la plaine vosgienne, désigne trois gerbes de blé qui reposent en faisceau sur le chaume après la moisson, attendant d'être rentrées pour le battage. Dans ce nouveau recueil, Henri Thomas a rassemblé soixante-seize poèmes. A cause de ce qu'elle a, non pas d'insaisissable, mais de non conforme aux schémas de l'enseignement et de la critique, trop peu de gens se sont aperçus jusqu'à maintenant de l'originalité absolue de la poésie d'Henri Thomas.
Son ostensible négligence est une rouerie de grand seigneur. Il est peut-être le seul poète français qui sache, comme certains grands Anglais, naviguer à égale distance des profondes sources personnelles et du poème comme objet fini. Il sait être toujours la voix d'une liberté vivante.
Son ostensible négligence est une rouerie de grand seigneur. Il est peut-être le seul poète français qui sache, comme certains grands Anglais, naviguer à égale distance des profondes sources personnelles et du poème comme objet fini. Il sait être toujours la voix d'une liberté vivante.