Venant après Poésie et Philosophie (2000), La Pensée, la Trace : Valéry-Varia (2001), Jardin des Voix (2022), Vent Nomade (2024), Epures du Cri (2024), Soleils enfuis (2024), Flux et Reflux (2025), ce nouveau livre de poésie voudrait être un hommage à l'un des plus grands poètes français des 20è et 21è siècles : Yves Bonnefoy. Le livre est basé sur quatre citations de son ouvrage paru en 1987, Ce qui fut sans lumière, où Bonnefoy médite sur les jeux de l'ombre et de la lumière, la fragilité du souvenir, l'exode des mots et la recherche d'un "pays qui ne sait que l'éternel" .
Dans sa quête sans fin de l'obscur le poète, pour Bonnefoy, marche dans les traverses du souffle et vit en suspens dans la hantise de l'abîme. De quelle nuit suis-je le fruit de quelle mer lointaine devenue vitrail au soleil couchant ai-je perçu l'appel quelle parole entourée de silence a ouvert en moi un chemin vers l'enfance des arbres dessinant un chant secret tissé d'absence où l'âme en sa clairière apprend dans les traverses du souffle fétu livré au vent à n'être rien à renaître
Venant après Poésie et Philosophie (2000), La Pensée, la Trace : Valéry-Varia (2001), Jardin des Voix (2022), Vent Nomade (2024), Epures du Cri (2024), Soleils enfuis (2024), Flux et Reflux (2025), ce nouveau livre de poésie voudrait être un hommage à l'un des plus grands poètes français des 20è et 21è siècles : Yves Bonnefoy. Le livre est basé sur quatre citations de son ouvrage paru en 1987, Ce qui fut sans lumière, où Bonnefoy médite sur les jeux de l'ombre et de la lumière, la fragilité du souvenir, l'exode des mots et la recherche d'un "pays qui ne sait que l'éternel" .
Dans sa quête sans fin de l'obscur le poète, pour Bonnefoy, marche dans les traverses du souffle et vit en suspens dans la hantise de l'abîme. De quelle nuit suis-je le fruit de quelle mer lointaine devenue vitrail au soleil couchant ai-je perçu l'appel quelle parole entourée de silence a ouvert en moi un chemin vers l'enfance des arbres dessinant un chant secret tissé d'absence où l'âme en sa clairière apprend dans les traverses du souffle fétu livré au vent à n'être rien à renaître