Un grand mathématicien roumain, et grand poète aussi, disait que la poésie est un jeu second. Rodica Amel, dans son volume de poèmes Trapèze volant, se lance dans un salto mortel d'un jeu premier, existentiel, vers un jeu second, du regard, qui scrute le plus profond des mots et écoute les voix du silence.
Un grand mathématicien roumain, et grand poète aussi, disait que la poésie est un jeu second. Rodica Amel, dans son volume de poèmes Trapèze volant, se lance dans un salto mortel d'un jeu premier, existentiel, vers un jeu second, du regard, qui scrute le plus profond des mots et écoute les voix du silence.