Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ces quelques pages racontent un voyage. Il s'agit d'un récit, rien de plus. Histoire d'une rencontre avec un monde que j'ai voulu approcher pour le comprendre....
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Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Ces quelques pages racontent un voyage. Il s'agit d'un récit, rien de plus. Histoire d'une rencontre avec un monde que j'ai voulu approcher pour le comprendre. J'ai choisi de parcourir des villes et d'aller voir des peintres. Après de longues années, consacrées à l'étude des images dans notre monde, ou, plus précisément, aux doctrines qui les ont fondées, je crois pouvoir dire que j'ai découvert, en Chine, un régime de visibilité et de lecture des images radicalement différent du nôtre. Je pourrais illustrer ce que fut ma découverte par la parabole suivante : il est d'usage de citer un faux proverbe chinois selon lequel quand on montre la lune du doigt à un idiot, l'idiot regarde le doigt. Rien de plus faux et rien de moins chinois. Je transformerais volontiers ce propos en l'inversant : quand un chinois désigne la lune, c'est pour inviter à chercher le doigt. Que savons nous d'ailleurs de la lune qui soit libre de ce doigt-là ? Montrer la lune, c'est parler du doigt, car le doigt construit la lune et la lune devient signe du doigt. L'idiot ne voit que la lune.