Traité du microcosme. Ma'amar 'Olam Qatan
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages266
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.344 kg
- Dimensions14,3 cm × 21,5 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-37856-141-3
- EAN9782378561413
- Date de parution06/10/2022
- CollectionLes dix paroles
- ÉditeurVerdier Editions
- Directeur scientifiqueArlette Lipszyc-Attali
- Directeur de publicationChristophe Attali
- PréfacierColette Sirat
Résumé
Moïse ibn Tibbon (v.1195 - v.1275) représente la troisième génération des Tibbonides, illustre famille de savants judéo-arabes d'origine andalouse installée en Provence à partir des années 1150. Comme son grand-père Juda et son père Samuel (traducteur du Guide des égarés, de Maimonide), il traduisit de l'arabe à l'hébreu maints ouvrages scientifiques, philosophiques et religieux, transmettant ainsi l'héritage de la haute culture de l'Andalousie des Xe-XIIe siècles.
Moïse ibn Tibbon fut aussi l'auteur de commentaires allégoriques de la Bible et du Midrach, où se conjuguent sa culture religieuse et sa connaissance des philosophes arabes, notamment Averroès. Le Traité du microcosme occupe une place à part. On y croise une tradition qui traverse les siècles et les cultures, tant la conception de l'homme comme microcosme, ou petit monde, résumé du macrocosme, ou grand monde, est universelle.
Ce traité, toutefois, demeure l'unique exemple dans la littérature juive d'un exposé complet de l'analogie du microcosme et du macrocosme. L'auteur y ramasse les savoirs médicaux, cosmologiques et philosophiques de son temps, tout en dévoilant divers aspects inhérents à la tradition juive. C'est la première fois que le Traité du microcosme est édité, traduit et commenté en français.
Moïse ibn Tibbon fut aussi l'auteur de commentaires allégoriques de la Bible et du Midrach, où se conjuguent sa culture religieuse et sa connaissance des philosophes arabes, notamment Averroès. Le Traité du microcosme occupe une place à part. On y croise une tradition qui traverse les siècles et les cultures, tant la conception de l'homme comme microcosme, ou petit monde, résumé du macrocosme, ou grand monde, est universelle.
Ce traité, toutefois, demeure l'unique exemple dans la littérature juive d'un exposé complet de l'analogie du microcosme et du macrocosme. L'auteur y ramasse les savoirs médicaux, cosmologiques et philosophiques de son temps, tout en dévoilant divers aspects inhérents à la tradition juive. C'est la première fois que le Traité du microcosme est édité, traduit et commenté en français.
Moïse ibn Tibbon (v.1195 - v.1275) représente la troisième génération des Tibbonides, illustre famille de savants judéo-arabes d'origine andalouse installée en Provence à partir des années 1150. Comme son grand-père Juda et son père Samuel (traducteur du Guide des égarés, de Maimonide), il traduisit de l'arabe à l'hébreu maints ouvrages scientifiques, philosophiques et religieux, transmettant ainsi l'héritage de la haute culture de l'Andalousie des Xe-XIIe siècles.
Moïse ibn Tibbon fut aussi l'auteur de commentaires allégoriques de la Bible et du Midrach, où se conjuguent sa culture religieuse et sa connaissance des philosophes arabes, notamment Averroès. Le Traité du microcosme occupe une place à part. On y croise une tradition qui traverse les siècles et les cultures, tant la conception de l'homme comme microcosme, ou petit monde, résumé du macrocosme, ou grand monde, est universelle.
Ce traité, toutefois, demeure l'unique exemple dans la littérature juive d'un exposé complet de l'analogie du microcosme et du macrocosme. L'auteur y ramasse les savoirs médicaux, cosmologiques et philosophiques de son temps, tout en dévoilant divers aspects inhérents à la tradition juive. C'est la première fois que le Traité du microcosme est édité, traduit et commenté en français.
Moïse ibn Tibbon fut aussi l'auteur de commentaires allégoriques de la Bible et du Midrach, où se conjuguent sa culture religieuse et sa connaissance des philosophes arabes, notamment Averroès. Le Traité du microcosme occupe une place à part. On y croise une tradition qui traverse les siècles et les cultures, tant la conception de l'homme comme microcosme, ou petit monde, résumé du macrocosme, ou grand monde, est universelle.
Ce traité, toutefois, demeure l'unique exemple dans la littérature juive d'un exposé complet de l'analogie du microcosme et du macrocosme. L'auteur y ramasse les savoirs médicaux, cosmologiques et philosophiques de son temps, tout en dévoilant divers aspects inhérents à la tradition juive. C'est la première fois que le Traité du microcosme est édité, traduit et commenté en français.