Traité du fouet. Ouvrage médico-philosophique suivi d'une dissertation sur tous les moyens capables d'exciter aux plaisirs de l'amour et d'un catalogue aphrodisiaque
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- Nombre de pages120
- PrésentationBroché
- Poids0.132 kg
- Dimensions12,1 cm × 19,4 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-228-90686-9
- EAN9782228906869
- Date de parution05/10/2011
- ÉditeurPayot
- PréfacierPhilippe Brenot
Résumé
Le Traité du fouet paraît la première fois anonymement en 1788, sans indication de lieu ou d’éditeur. Son auteur, François-Amédée Doppet, est pourtant un personnage important : médecin et littérateur, il deviendra avec la Révolution puis l’Empire un général de l’armée napoléonienne.Il rappelle ici que le fouet est connu depuis l’Antiquité pour ses vertus aphrodisiaques ; décrit, en précurseur de la sexologie, le mécanisme de l’addiction sexuelle ; met en garde contre les erreurs à ne pas commettre dans le maniement du fouet ; dénonce la manie de l’époque de fouetter les enfants pour les éduquer ; et termine par un catalogue aphrodisiaque et autres recettes d’amour.
« Les remèdes froids et tempérants sont non seulement utiles aux célibataires, mais encore à certains mariés. Lorsque, par exemple, l’homme est si vigoureux que ses caresses altèrent la santé de sa femme, il doit avoir recours aux médicaments rafraîchissants plutôt qu’aux catins… »
« Les remèdes froids et tempérants sont non seulement utiles aux célibataires, mais encore à certains mariés. Lorsque, par exemple, l’homme est si vigoureux que ses caresses altèrent la santé de sa femme, il doit avoir recours aux médicaments rafraîchissants plutôt qu’aux catins… »
Le Traité du fouet paraît la première fois anonymement en 1788, sans indication de lieu ou d’éditeur. Son auteur, François-Amédée Doppet, est pourtant un personnage important : médecin et littérateur, il deviendra avec la Révolution puis l’Empire un général de l’armée napoléonienne.Il rappelle ici que le fouet est connu depuis l’Antiquité pour ses vertus aphrodisiaques ; décrit, en précurseur de la sexologie, le mécanisme de l’addiction sexuelle ; met en garde contre les erreurs à ne pas commettre dans le maniement du fouet ; dénonce la manie de l’époque de fouetter les enfants pour les éduquer ; et termine par un catalogue aphrodisiaque et autres recettes d’amour.
« Les remèdes froids et tempérants sont non seulement utiles aux célibataires, mais encore à certains mariés. Lorsque, par exemple, l’homme est si vigoureux que ses caresses altèrent la santé de sa femme, il doit avoir recours aux médicaments rafraîchissants plutôt qu’aux catins… »
« Les remèdes froids et tempérants sont non seulement utiles aux célibataires, mais encore à certains mariés. Lorsque, par exemple, l’homme est si vigoureux que ses caresses altèrent la santé de sa femme, il doit avoir recours aux médicaments rafraîchissants plutôt qu’aux catins… »