Toutes peines confondues. De la disparition forcée à l'engagement citoyen : parcours d'une ex-détenue politique marocaine

Par : Fatna El Bouih

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  • Nombre de pages144
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.175 kg
  • Dimensions14,0 cm × 18,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN979-10-90062-85-6
  • EAN9791090062856
  • Date de parution15/03/2025
  • CollectionFonctions dérivées
  • ÉditeurIXe Editions
  • TraducteurSouad Labbize

Résumé

"Chaque mot que je pose sur le papier est une victoire contre l'oubli, une affirmation de ma dignité et de ma résistance." Fatna el-Bouih a vingt et un ans lorsqu'elle est arrêtée en 1977 pour "atteinte à la sûreté de l'Etat". Sous le règne du roi Hassan II, son pays, le Maroc, vit la tourmente des années de plomb au cours desquelles la torture, les disparitions forcées, les détentions arbitraires sont utilisées à tout-va contre les opposantes au régime.
Première prisonnière politique marocaine à avoir publié sur son expérience carcérale, Fatna El-Bouih s'est saisie de la plume comme d'une arme : à la fois pour témoigner des violences spécifiques qui sévissaient alors dans les quartiers pour femmes des prisons, et pour reprendre pied dans le monde des vivants, ancrer son parcours dans une histoire collective. D'abord publié en arabe par la maison d'édition marocaine Le Fennec, puis en français par le même éditeur sous le titre Une femme nommée Rachid, le texte initial a été considérablement remanié et enrichi pour pouvoir être lu et compris par-delà les rives de la Méditerranée.
"Chaque mot que je pose sur le papier est une victoire contre l'oubli, une affirmation de ma dignité et de ma résistance." Fatna el-Bouih a vingt et un ans lorsqu'elle est arrêtée en 1977 pour "atteinte à la sûreté de l'Etat". Sous le règne du roi Hassan II, son pays, le Maroc, vit la tourmente des années de plomb au cours desquelles la torture, les disparitions forcées, les détentions arbitraires sont utilisées à tout-va contre les opposantes au régime.
Première prisonnière politique marocaine à avoir publié sur son expérience carcérale, Fatna El-Bouih s'est saisie de la plume comme d'une arme : à la fois pour témoigner des violences spécifiques qui sévissaient alors dans les quartiers pour femmes des prisons, et pour reprendre pied dans le monde des vivants, ancrer son parcours dans une histoire collective. D'abord publié en arabe par la maison d'édition marocaine Le Fennec, puis en français par le même éditeur sous le titre Une femme nommée Rachid, le texte initial a été considérablement remanié et enrichi pour pouvoir être lu et compris par-delà les rives de la Méditerranée.