Tout le monde aime les Américains. Et autres enquêtes en Afrique et dans le monde musulman
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- Nombre de pages341
- PrésentationBroché
- Poids0.452 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-36719-031-0
- EAN9782367190310
- Date de parution06/11/2014
- ÉditeurTristram
- TraducteurJean-Paul Mourlon
Résumé
Durant une dizaine d'années, de 1993 jusqu'en 2002, William T. Vollmann a beaucoup séjourné en Afrique et dans le monde musulman. A Madagascar, il s'est mêlé aux populations les plus miséreuses. En Malaysia, comme en République du Congo et dans l'ancien Zaïre, il a côtoyé les insurgés et séparatistes de tout bord. En Somalie, il s'est embarqué avec les Marines. Et en Irak, en Afghanistan ou au Yémen - où il s'est rendu au lendemain des attentats du 11 septembre - William Vollmann a approché, du plus près qu'il l'a pu, la réalité et les causes de la haine de l'Amérique.
L'auteur de Gomorra, Roberto Saviano, écrit : "Vollmann raconte ce que sont l'Histoire et l'humanité, et sonde tous les aspects de cette dernière. Rien de ce qui est humain ne lui est étranger. Dans ses livres-reportages, il est là, enfoncé dans la réalité qu'il explore. Raconter la misère de l'homme, la toxicomanie, la prostitution, l'exploitation farouche ne signifie pas être attiré par l'abjection, ou exalter la dégradation.
C'est voir son propre temps plus clairement et rechercher dans les traces du présent, tel un archéologue, les sédimentations du passé, là où l'homme demeure identique à lui-même, dans sa soif de pouvoir, de sang, de conquête."
L'auteur de Gomorra, Roberto Saviano, écrit : "Vollmann raconte ce que sont l'Histoire et l'humanité, et sonde tous les aspects de cette dernière. Rien de ce qui est humain ne lui est étranger. Dans ses livres-reportages, il est là, enfoncé dans la réalité qu'il explore. Raconter la misère de l'homme, la toxicomanie, la prostitution, l'exploitation farouche ne signifie pas être attiré par l'abjection, ou exalter la dégradation.
C'est voir son propre temps plus clairement et rechercher dans les traces du présent, tel un archéologue, les sédimentations du passé, là où l'homme demeure identique à lui-même, dans sa soif de pouvoir, de sang, de conquête."
Durant une dizaine d'années, de 1993 jusqu'en 2002, William T. Vollmann a beaucoup séjourné en Afrique et dans le monde musulman. A Madagascar, il s'est mêlé aux populations les plus miséreuses. En Malaysia, comme en République du Congo et dans l'ancien Zaïre, il a côtoyé les insurgés et séparatistes de tout bord. En Somalie, il s'est embarqué avec les Marines. Et en Irak, en Afghanistan ou au Yémen - où il s'est rendu au lendemain des attentats du 11 septembre - William Vollmann a approché, du plus près qu'il l'a pu, la réalité et les causes de la haine de l'Amérique.
L'auteur de Gomorra, Roberto Saviano, écrit : "Vollmann raconte ce que sont l'Histoire et l'humanité, et sonde tous les aspects de cette dernière. Rien de ce qui est humain ne lui est étranger. Dans ses livres-reportages, il est là, enfoncé dans la réalité qu'il explore. Raconter la misère de l'homme, la toxicomanie, la prostitution, l'exploitation farouche ne signifie pas être attiré par l'abjection, ou exalter la dégradation.
C'est voir son propre temps plus clairement et rechercher dans les traces du présent, tel un archéologue, les sédimentations du passé, là où l'homme demeure identique à lui-même, dans sa soif de pouvoir, de sang, de conquête."
L'auteur de Gomorra, Roberto Saviano, écrit : "Vollmann raconte ce que sont l'Histoire et l'humanité, et sonde tous les aspects de cette dernière. Rien de ce qui est humain ne lui est étranger. Dans ses livres-reportages, il est là, enfoncé dans la réalité qu'il explore. Raconter la misère de l'homme, la toxicomanie, la prostitution, l'exploitation farouche ne signifie pas être attiré par l'abjection, ou exalter la dégradation.
C'est voir son propre temps plus clairement et rechercher dans les traces du présent, tel un archéologue, les sédimentations du passé, là où l'homme demeure identique à lui-même, dans sa soif de pouvoir, de sang, de conquête."