Tout dépend de Dieu. Nouvelles africaines
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- Nombre de pages88
- PrésentationBroché
- Poids0.128 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,5 cm
- ISBN2-7384-5612-X
- EAN9782738456120
- Date de parution01/09/1997
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Dans ces nouvelles brèves et denses, on découvrira la tenace et douloureuse Aminata qui attend Tout-dépend-de-Dieu sur un banc de gare routière. Le vieux Kansaï, tenancier d'un bistrot et vétéran de la Seconde Guerre mondiale qui marmonne, espérant chaque jour le retour de son fils... L'express et Le grand débrouillard montrent deux méthodes de survie précaire, l'une par une petite délinquance qui demande l'audace du désespoir et l'autre par une forme de dépendance aussi affectueuse que servile.
Ici, l'Afrique n'est pas seulement un prétexte à décors ou personnages exotiques, à anecdotes "typiques" ou à un plaidoyer pro domo avec diatribes obligées et commisération garantie, elle est vue avec une lucidité et une sensibilité qui ne se fourvoient pas dans la bonne/mauvaise conscience ou l'analyse socio-ethnographique. L'auteur trouve spontanément au moyen de rythmes narratifs, "d'actes de paroles", l'expression d'une vérité qui touche.
Sur des problèmes comme l'excision, la précarité endémique, la corruption, l'exclusion, la conscience du sous-développement face au profit et aux profiteurs, il dit beaucoup en peu de mots. Mais bien choisis, ces mots font mouche.
Ici, l'Afrique n'est pas seulement un prétexte à décors ou personnages exotiques, à anecdotes "typiques" ou à un plaidoyer pro domo avec diatribes obligées et commisération garantie, elle est vue avec une lucidité et une sensibilité qui ne se fourvoient pas dans la bonne/mauvaise conscience ou l'analyse socio-ethnographique. L'auteur trouve spontanément au moyen de rythmes narratifs, "d'actes de paroles", l'expression d'une vérité qui touche.
Sur des problèmes comme l'excision, la précarité endémique, la corruption, l'exclusion, la conscience du sous-développement face au profit et aux profiteurs, il dit beaucoup en peu de mots. Mais bien choisis, ces mots font mouche.
Dans ces nouvelles brèves et denses, on découvrira la tenace et douloureuse Aminata qui attend Tout-dépend-de-Dieu sur un banc de gare routière. Le vieux Kansaï, tenancier d'un bistrot et vétéran de la Seconde Guerre mondiale qui marmonne, espérant chaque jour le retour de son fils... L'express et Le grand débrouillard montrent deux méthodes de survie précaire, l'une par une petite délinquance qui demande l'audace du désespoir et l'autre par une forme de dépendance aussi affectueuse que servile.
Ici, l'Afrique n'est pas seulement un prétexte à décors ou personnages exotiques, à anecdotes "typiques" ou à un plaidoyer pro domo avec diatribes obligées et commisération garantie, elle est vue avec une lucidité et une sensibilité qui ne se fourvoient pas dans la bonne/mauvaise conscience ou l'analyse socio-ethnographique. L'auteur trouve spontanément au moyen de rythmes narratifs, "d'actes de paroles", l'expression d'une vérité qui touche.
Sur des problèmes comme l'excision, la précarité endémique, la corruption, l'exclusion, la conscience du sous-développement face au profit et aux profiteurs, il dit beaucoup en peu de mots. Mais bien choisis, ces mots font mouche.
Ici, l'Afrique n'est pas seulement un prétexte à décors ou personnages exotiques, à anecdotes "typiques" ou à un plaidoyer pro domo avec diatribes obligées et commisération garantie, elle est vue avec une lucidité et une sensibilité qui ne se fourvoient pas dans la bonne/mauvaise conscience ou l'analyse socio-ethnographique. L'auteur trouve spontanément au moyen de rythmes narratifs, "d'actes de paroles", l'expression d'une vérité qui touche.
Sur des problèmes comme l'excision, la précarité endémique, la corruption, l'exclusion, la conscience du sous-développement face au profit et aux profiteurs, il dit beaucoup en peu de mots. Mais bien choisis, ces mots font mouche.