Né à Montauban le 27 août 1936, Philippe Labro est un écrivain, parolier, journaliste et présentateur télé et radio. Passionné des USA, il part y étudier à 17 ans. A son retour, il est embauché comme reporter pour Europe 1 et France-Soir. De 1985 à 2000, il devient directeur des programmes de RTL et lance en 2005 la chaîne Direct 8. Parolier reconnu, il a écrit tout un album de Johnny Hallyday et collabore à plusieurs reprises avec Serge Gainsbourg. Découvrez l'ensemble de son œuvre littéraire acclamé par la critique et les lecteurs. En 2013, il publie Le flûtiste invisible qui nous interroge sur la puissance d'une force extérieure que nous pouvons appeler : le destin. De sa plume fine et intelligente, il nous transporte, à chaque reprise, dans un univers fascinant au sein duquel nous évoluons avec plaisir. Parmi ces œuvres poignantes restant ancrées dans notre mémoire pour toujours, succombez à La couleur des sentiments de Kathryn Stockett, Peste et Choléra de Patrick Deville ou encore L'homme qui voulait vivre sa vie de Douglas Kennedy. Livraison à 0.01€, garantie satisfait ou remboursé et plusieurs formats à votre disposition... vous avez toutes les raisons de vous procurer les livres qui comblent vos envies.
Formats :
Disponible d'occasion :
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
- Nombre de pages244
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.16 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,7 cm
- ISBN2-07-030512-0
- EAN9782070305124
- Date de parution13/10/2005
- CollectionFolio
- ÉditeurGallimard
Résumé
" C'est arrivé subrepticement, sournoisement, sans prévenir, une vraie saloperie, une lente et insidieuse pénétration. Je suis l'esclave d'une chose indéfinissable qui est en train de me détruire et je lui obéis sans aucune résistance. " " Quelque chose a changé. " Ce " quelque chose " n'est autre que le début de la plongée dans une dépression nerveuse dont le célèbre romancier a été victime. Dans un récit vécu, sans fard ni concession, l'auteur de La traversée raconte ce que signifie perdre le désir, l'énergie, la passion, l'estime de soi.
Avec un style intime, conduit par le souci authentique de restituer " cette tristesse sans larmes ", et de " dire comment c'était ", selon la formule de ses maîtres en écriture, Hemingway et Hugo, Philippe Labro évoque les effets de " la broyeuse " qui vous ronge le ventre. Mais ce témoignage unique, porté par le souffle de l'écriture, constitue aussi une éclatante affirmation de la force de la vie et de l'amour.
Avec un style intime, conduit par le souci authentique de restituer " cette tristesse sans larmes ", et de " dire comment c'était ", selon la formule de ses maîtres en écriture, Hemingway et Hugo, Philippe Labro évoque les effets de " la broyeuse " qui vous ronge le ventre. Mais ce témoignage unique, porté par le souffle de l'écriture, constitue aussi une éclatante affirmation de la force de la vie et de l'amour.
" C'est arrivé subrepticement, sournoisement, sans prévenir, une vraie saloperie, une lente et insidieuse pénétration. Je suis l'esclave d'une chose indéfinissable qui est en train de me détruire et je lui obéis sans aucune résistance. " " Quelque chose a changé. " Ce " quelque chose " n'est autre que le début de la plongée dans une dépression nerveuse dont le célèbre romancier a été victime. Dans un récit vécu, sans fard ni concession, l'auteur de La traversée raconte ce que signifie perdre le désir, l'énergie, la passion, l'estime de soi.
Avec un style intime, conduit par le souci authentique de restituer " cette tristesse sans larmes ", et de " dire comment c'était ", selon la formule de ses maîtres en écriture, Hemingway et Hugo, Philippe Labro évoque les effets de " la broyeuse " qui vous ronge le ventre. Mais ce témoignage unique, porté par le souffle de l'écriture, constitue aussi une éclatante affirmation de la force de la vie et de l'amour.
Avec un style intime, conduit par le souci authentique de restituer " cette tristesse sans larmes ", et de " dire comment c'était ", selon la formule de ses maîtres en écriture, Hemingway et Hugo, Philippe Labro évoque les effets de " la broyeuse " qui vous ronge le ventre. Mais ce témoignage unique, porté par le souffle de l'écriture, constitue aussi une éclatante affirmation de la force de la vie et de l'amour.
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
2 Coups de cœur
de nos libraires