Tirer parti des contraintes. Contrainte + Volonté = Innovation

Par : Dominique Fauconnier
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  • Nombre de pages83
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.128 kg
  • Dimensions15,2 cm × 22,2 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-2-36717-865-3
  • EAN9782367178653
  • Date de parution25/08/2022
  • CollectionSavoir communiquer
  • ÉditeurChronique Sociale

Résumé

Le premier concept-outil est désigné par la notion de "contrainte", définis comme étant "ce qui résiste". Cette idée est inspirée des réalités que transforment les artisans dans l'exercice de leur métier, c'est-à-dire des matières. Le bois résiste, il est transformable, c'est une matière. Définir une contrainte comme étant une matière, induit l'idée que la contrainte est également transformable, ce qui la rend accessible à l'action humaine.
Le deuxième concept-outil est désigné par le mot "énergie", que l'on peut aussi appréhender par le mot a volonté" ou "nécessité". Retenons ici la volonté de résister puis de transformer une contrainte. A l'image de l'oeuvrier qui décide de travailler sa matière pour en faire une oeuvre. Le troisième concept-outil est désigné par le mot d'outil. Un outil est une matière travaillée afin d'être utilisée pour transformer une réalité.
Le marteau est un outil lorsqu'on l'utilise. Si on le pose sur la table, ce n'est plus qu'un morceau de bois et de métal, inerte, ce n'est plus qu'un outil potentiel. L'usage d'un outil prolonge le geste de la main, ou du corps. Il est lié à la notion de mouvement et d'effet obtenu : c'est une matière façonnée qui permet de transformer une réalité. Cette définition permet de ne pas confondre ce que désignent les mots outil et matières : l'outil est fait de matière, ce qui le distingue c'est l'usage que nous en faisons.
L'idée ici est d'associer intimement une matière à un mouvement. Le quatrième concept-outil est une équation : "Contrainte + Volonté = Innovation" Comme on vient de le voir, le mot "Volonté" peut être remplacé par "Energie" ou "Nécessité". Le mot Innovation peut être remplacé par "Mouvement", "Dynamique", "Efficacité". Au-delà des mots spécifiques retenus, c'est la logique de ce que leur assemblage crée qui prime.
Le premier concept-outil est désigné par la notion de "contrainte", définis comme étant "ce qui résiste". Cette idée est inspirée des réalités que transforment les artisans dans l'exercice de leur métier, c'est-à-dire des matières. Le bois résiste, il est transformable, c'est une matière. Définir une contrainte comme étant une matière, induit l'idée que la contrainte est également transformable, ce qui la rend accessible à l'action humaine.
Le deuxième concept-outil est désigné par le mot "énergie", que l'on peut aussi appréhender par le mot a volonté" ou "nécessité". Retenons ici la volonté de résister puis de transformer une contrainte. A l'image de l'oeuvrier qui décide de travailler sa matière pour en faire une oeuvre. Le troisième concept-outil est désigné par le mot d'outil. Un outil est une matière travaillée afin d'être utilisée pour transformer une réalité.
Le marteau est un outil lorsqu'on l'utilise. Si on le pose sur la table, ce n'est plus qu'un morceau de bois et de métal, inerte, ce n'est plus qu'un outil potentiel. L'usage d'un outil prolonge le geste de la main, ou du corps. Il est lié à la notion de mouvement et d'effet obtenu : c'est une matière façonnée qui permet de transformer une réalité. Cette définition permet de ne pas confondre ce que désignent les mots outil et matières : l'outil est fait de matière, ce qui le distingue c'est l'usage que nous en faisons.
L'idée ici est d'associer intimement une matière à un mouvement. Le quatrième concept-outil est une équation : "Contrainte + Volonté = Innovation" Comme on vient de le voir, le mot "Volonté" peut être remplacé par "Energie" ou "Nécessité". Le mot Innovation peut être remplacé par "Mouvement", "Dynamique", "Efficacité". Au-delà des mots spécifiques retenus, c'est la logique de ce que leur assemblage crée qui prime.