Thérèse philosophe. Ou Mémoires pour servir à l'histoire du Père Dirrag et de Mademoiselle Eradice
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages232
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.19 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-08-071254-7
- EAN9782080712547
- Date de parution04/01/2007
- CollectionGF
- ÉditeurFlammarion
- AnnotateurFlorence Lotterie
Résumé
"Le seul ouvrage qui ait montré le but, sans néanmoins l'atteindre tout à fait ; l'unique qui ait agréablement lié la luxure et l'impiété, et qui donnera enfin l'idée d'un livre immoral" : c'est en ces termes que Sade, dans l'Histoire de Juliette, rend hommage à Thérèse philosophe. Paru anonymement en 1748, ce roman est un classique - sinon le classique - de l'édition clandestine d'erotica au XVIIIesiècle.
Véritable best-seller de la littérature audacieuse, souvent attribué à Boyer d'Argens, il ouvre aussi de brûlants dossiers d'ordre religieux et moral, et l'on a pu soupçonner Diderot d'en être l'auteur. Prenant prétexte d'un fait divers - le procès qui opposa, en 1730, un jésuite à sa pénitente qui l'accusait de l'avoir débauchée-, il dénonce l'influence pernicieuse de la religion sur la santé des esprits, et revendique, par le "raisonnement" comme par l'"exemple", le droit des corps à disposer d'eux-mêmes.
D'où l'inévitable question : 1748, année érotique, ou année théorique chaude pour la philosophie ? L'une ne va peut-être pas sans l'autre...
Véritable best-seller de la littérature audacieuse, souvent attribué à Boyer d'Argens, il ouvre aussi de brûlants dossiers d'ordre religieux et moral, et l'on a pu soupçonner Diderot d'en être l'auteur. Prenant prétexte d'un fait divers - le procès qui opposa, en 1730, un jésuite à sa pénitente qui l'accusait de l'avoir débauchée-, il dénonce l'influence pernicieuse de la religion sur la santé des esprits, et revendique, par le "raisonnement" comme par l'"exemple", le droit des corps à disposer d'eux-mêmes.
D'où l'inévitable question : 1748, année érotique, ou année théorique chaude pour la philosophie ? L'une ne va peut-être pas sans l'autre...
"Le seul ouvrage qui ait montré le but, sans néanmoins l'atteindre tout à fait ; l'unique qui ait agréablement lié la luxure et l'impiété, et qui donnera enfin l'idée d'un livre immoral" : c'est en ces termes que Sade, dans l'Histoire de Juliette, rend hommage à Thérèse philosophe. Paru anonymement en 1748, ce roman est un classique - sinon le classique - de l'édition clandestine d'erotica au XVIIIesiècle.
Véritable best-seller de la littérature audacieuse, souvent attribué à Boyer d'Argens, il ouvre aussi de brûlants dossiers d'ordre religieux et moral, et l'on a pu soupçonner Diderot d'en être l'auteur. Prenant prétexte d'un fait divers - le procès qui opposa, en 1730, un jésuite à sa pénitente qui l'accusait de l'avoir débauchée-, il dénonce l'influence pernicieuse de la religion sur la santé des esprits, et revendique, par le "raisonnement" comme par l'"exemple", le droit des corps à disposer d'eux-mêmes.
D'où l'inévitable question : 1748, année érotique, ou année théorique chaude pour la philosophie ? L'une ne va peut-être pas sans l'autre...
Véritable best-seller de la littérature audacieuse, souvent attribué à Boyer d'Argens, il ouvre aussi de brûlants dossiers d'ordre religieux et moral, et l'on a pu soupçonner Diderot d'en être l'auteur. Prenant prétexte d'un fait divers - le procès qui opposa, en 1730, un jésuite à sa pénitente qui l'accusait de l'avoir débauchée-, il dénonce l'influence pernicieuse de la religion sur la santé des esprits, et revendique, par le "raisonnement" comme par l'"exemple", le droit des corps à disposer d'eux-mêmes.
D'où l'inévitable question : 1748, année érotique, ou année théorique chaude pour la philosophie ? L'une ne va peut-être pas sans l'autre...














