Théorie de la sexualité. L'interdit et sa transgression

Par : Alain Delannoy

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  • Nombre de pages230
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.276 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-14-048648-7
  • EAN9782140486487
  • Date de parution26/07/2023
  • CollectionLogiques sociales
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

La sexualité est l'une des différences décisives entre les animaux et l'homme. Dans cette espèce, faute d'un instinct qui le commande, le dispositif de sexualité ne peut se suffire de la nature. Il ne peut se déclencher qu'en mettant à profit l'une des spécificités de l'animal humain, les capacités exceptionnelles de son cerveau. La pensée qui traverse le cerveau permet que s'imposent des sentiments de pudeur.
Universelle dans toutes les cultures, la pudeur est étrangère au monde animal. Mais elle ne prend un tour sexuel qu'après être apparue au cours de l'éducation à la propreté urino-fécale. Cette éducation défi nit ce qui est bien, en opposition avec ce qui est sale et mal. Le bien s'applique au monde social, ce qui concerne lesdites parties honteuses est relégué du côté du mal. Anthropologiquement associé à ce qui est sale et au mal, l'amour sexuel se trouve frappé d'interdit.
Or, l'homme est un mammifère supérieur qui possède une grande propension à faire des sottises. L'interdit porté sur l'amour sexuel lui inspire sa transgression. Par l'exacerbation des émotions, la transgression amène à toutes les formes d'expression de l'amour et de la sexualité.
La sexualité est l'une des différences décisives entre les animaux et l'homme. Dans cette espèce, faute d'un instinct qui le commande, le dispositif de sexualité ne peut se suffire de la nature. Il ne peut se déclencher qu'en mettant à profit l'une des spécificités de l'animal humain, les capacités exceptionnelles de son cerveau. La pensée qui traverse le cerveau permet que s'imposent des sentiments de pudeur.
Universelle dans toutes les cultures, la pudeur est étrangère au monde animal. Mais elle ne prend un tour sexuel qu'après être apparue au cours de l'éducation à la propreté urino-fécale. Cette éducation défi nit ce qui est bien, en opposition avec ce qui est sale et mal. Le bien s'applique au monde social, ce qui concerne lesdites parties honteuses est relégué du côté du mal. Anthropologiquement associé à ce qui est sale et au mal, l'amour sexuel se trouve frappé d'interdit.
Or, l'homme est un mammifère supérieur qui possède une grande propension à faire des sottises. L'interdit porté sur l'amour sexuel lui inspire sa transgression. Par l'exacerbation des émotions, la transgression amène à toutes les formes d'expression de l'amour et de la sexualité.