Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Après avoir lancé son célèbre cri "La Propriété, c'est le vol" en 1840, Proudhon n'a pas cessé, tout au long de sa vie mouvementée, de repenser...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
Après avoir lancé son célèbre cri "La Propriété, c'est le vol" en 1840, Proudhon n'a pas cessé, tout au long de sa vie mouvementée, de repenser ce problème de la propriété qu'il considérait comme la clef du monde futur. Dans ses dernières années, après la révolution de 1848, les épreuves de la prison et de l'exil, il formule, en un court volume inachevé, ses ultimes réflexions sous le titre Théorie de la propriété. On y retrouve ses interrogations permanentes : comment échapper à la fois au capitalisme sauvage, créateur d'inégalités et d'exploitation, et au communisme, créateur d'oppression et de misère ? Comment lutter contre l'emprise de l'Etat prédateur, toujours menaçant pour les libertés des citoyens ? Il n'est pas de réponse simpliste à ces questions, mais il faut rechercher de meilleurs équilibres économiques et sociaux : le fédéralisme socio-économique, l'autogestion, le mutuellisme et un véritable droit économique peuvent réaliser l'anarchie positive, condition des libertés et de la justice.