Théologie et littérature. Actes du colloque des 5, 6, 7 juillet 2019, Académie Catholique du Val de Seine

Par : Claude Brunier-Coulin, Jean-François Petit
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  • Nombre de pages392
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.601 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
  • ISBN979-10-309-0239-6
  • EAN9791030902396
  • Date de parution02/07/2020
  • CollectionDébats / Philosophie
  • ÉditeurOrizons

Résumé

Il est question depuis longtemps de "théologie littéraire", pour exprimer à la fois une lecture théologique de la littérature et une écriture littéraire de la foi et de la réflexion chrétiennes. Nous avons, d'une part, des auteurs comme Kierkegaard, Baudelaire, Mauriac, Grosjean, Péguy, Bernanos, Char, Bauchau, Bonnefoy. De l'autre des genres littéraires comme le journal, le roman, les réécritures bibliques, le langage mystique, la nouvelle, le langage poétique.
Dans sa grande oeuvre, La littérature et le spirituel, André Blanchet, imprégné de l'oeuvre de Claudel, considère qu'il faut réinvestir le monde après avoir trouvé Dieu, pour y retrouver les empreintes laissées par le Créateur. Peut-on sacrifier sa foi au pur plaisir littéraire, en s'engageant, pour servir la religion, dans des voies qui peuvent lui nuire ? Y a-t-il une affinité entre la théologie et la littérature pour une parole qui ne leur appartient pas et qui se promet à elles ? Permet-elle au chrétien de voir dans l'autre le visage divin ? Est-il utile de s'attarder à l'étude d'écrivains croyants ou agnostiques ou athées ? La littérature permet-elle de déceler la quête d'absolu, les affinités et les différences avec le christianisme ?
Il est question depuis longtemps de "théologie littéraire", pour exprimer à la fois une lecture théologique de la littérature et une écriture littéraire de la foi et de la réflexion chrétiennes. Nous avons, d'une part, des auteurs comme Kierkegaard, Baudelaire, Mauriac, Grosjean, Péguy, Bernanos, Char, Bauchau, Bonnefoy. De l'autre des genres littéraires comme le journal, le roman, les réécritures bibliques, le langage mystique, la nouvelle, le langage poétique.
Dans sa grande oeuvre, La littérature et le spirituel, André Blanchet, imprégné de l'oeuvre de Claudel, considère qu'il faut réinvestir le monde après avoir trouvé Dieu, pour y retrouver les empreintes laissées par le Créateur. Peut-on sacrifier sa foi au pur plaisir littéraire, en s'engageant, pour servir la religion, dans des voies qui peuvent lui nuire ? Y a-t-il une affinité entre la théologie et la littérature pour une parole qui ne leur appartient pas et qui se promet à elles ? Permet-elle au chrétien de voir dans l'autre le visage divin ? Est-il utile de s'attarder à l'étude d'écrivains croyants ou agnostiques ou athées ? La littérature permet-elle de déceler la quête d'absolu, les affinités et les différences avec le christianisme ?
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