Théâtre espagnol du Siècle d'Or. La Célestine, La vie est un songe, Les cheveux d'Absalon, Le magicien prodigieux

Par : Fernando de Rojas, Pedro Calderon de la Barca
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  • Nombre de pages350
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.525 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-296-08877-1
  • EAN9782296088771
  • Date de parution01/12/2013
  • CollectionCardinales
  • ÉditeurOrizons
  • TraducteurJean Gillibert

Résumé

Jean Gillibert nous dit : "Je connaissais Maria Casarès depuis le conservatoire. Nous nous sommes revus en 1950 lorsque j'ai présenté Médée d'Euripide. A un certain moment de sa vie, alors que le théâtre ne l'engageait plus, je lui ai proposé La Célestine de Rojas. Elle accepta. Ce fut une vaste entreprise : je voulais et traduire et adapter le texte. La Célestine fut créée à Châteauvallon, en 1972.
Le succès fut grand grâce à la prestigieuse actrice. De nombreuses tournées s'en suivirent. Je crois avoir réussi le mariage entre la prostitution et le "sacré" jusqu'à la confusion du maquerellage avec le religieux. La sexualité "commerciale" était tenue par un "prêtre" (La Célestine) et défiait un grand nombre de lois de la société civile. Plus tard, fort de cette expérience avec l'espagnol, je m'attaquai à Calderón (La vie est un songe, Les cheveux d'Absalon, Le magicien prodigieux).
Ce théâtre du Siècle d'or n'est pas que "renaissant", il est "apparaissant" en mêlant l'honneur aux aventures sexuelles et transcendantes, une racine profonde du théâtre occidental".
Jean Gillibert nous dit : "Je connaissais Maria Casarès depuis le conservatoire. Nous nous sommes revus en 1950 lorsque j'ai présenté Médée d'Euripide. A un certain moment de sa vie, alors que le théâtre ne l'engageait plus, je lui ai proposé La Célestine de Rojas. Elle accepta. Ce fut une vaste entreprise : je voulais et traduire et adapter le texte. La Célestine fut créée à Châteauvallon, en 1972.
Le succès fut grand grâce à la prestigieuse actrice. De nombreuses tournées s'en suivirent. Je crois avoir réussi le mariage entre la prostitution et le "sacré" jusqu'à la confusion du maquerellage avec le religieux. La sexualité "commerciale" était tenue par un "prêtre" (La Célestine) et défiait un grand nombre de lois de la société civile. Plus tard, fort de cette expérience avec l'espagnol, je m'attaquai à Calderón (La vie est un songe, Les cheveux d'Absalon, Le magicien prodigieux).
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