Ces pièces trahissent une conception tardive du genre comique : on pleure et on sourit dans La Constance et Le Fidelle ; Plaute côtoie la commedia dell'arte dans Les Tromperies. Le but reste celui de corriger les vices par le rire, mais la langue est moins travaillée que dans le premier recueil.
Ces pièces trahissent une conception tardive du genre comique : on pleure et on sourit dans La Constance et Le Fidelle ; Plaute côtoie la commedia dell'arte dans Les Tromperies. Le but reste celui de corriger les vices par le rire, mais la langue est moins travaillée que dans le premier recueil.