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chronique
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The air he breathe
Je ne sais pas quoi dire de cette histoire. J’étais très impatiente d’avoir le livre entre mes mains. ( Puis franchement même si le résumé est intriguant, bon sang, je suis amoureuse de la couverture pour être honnête. ).
J’ai dévoré le bouquin en 3 jours. Je suis passé d’à, « mais quel connard lui » a « mon dieu pauvre chéri. ».
Sans trop détailler, je peux juste dire que quand on comprend ce qu’ils ont vécu chacun de leur côté, on en ressort qu’un mot « lié ». Cela se passe trop vite, mais j’ai su savourer chaque moment avec peine, tristesse, rire et
amour évidemment. J’ai craqué sur Tristan même si avouons-le, c’est un connard, parce que c’est un connard déjà ! lol. Mais qu’est-ce que l’on a envie d’en savoir plus sur lui, de briser cette coquille dans laquelle il est enfermé. On ressent également cette profonde tristesse qui l’envahi, il rigole, tu rigoles, il pleure, tu pleures, il en colère, tu es en colère. Comme si vous étiez lié à lui quoi. Moi en tout cas cela m’a fait cet effet.
Concernant. Elizabeth, pareil, mais je me suis moins attaché à elle, quoiqu’elle a le même problème que Tristan. Je suis juste un peu trop déçu dont elle a succombé « trop vite ». Par rapport à sa mère, on pourrait dire que c’est une nana facile, pourtant non. Mais là, je suis juste un peu déçu que leur relation débute un peu trop vite à mon goût. J’aurais aimé qu’ils apprennent à se connaître avant ce baiser qui pour moi aurai dû arriver un peu plus tard. Je me tais, j’ai l’impression d’en dire trop !!
Bref concernant l’auteur, j’aime bien sa plume. Celle-ci est très ouverte et simple, le style que j’aime, malgré que j’ai trouvé rapprochement des personnages trop rapides, elle a su me faire fondre.
The air he breathes
Brittainy C. Cherry est une auteur habituée de la liste des Best Sellers du New York Times et elle le prouve encore une fois...