Th n25 - la resurrection des morts chez les peres apostoliques

Par : Van eijk Ahc

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  • Nombre de pages208
  • PrésentationBroché
  • Poids0.258 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN2-7010-0059-9
  • EAN9782701000596
  • Date de parution01/04/1997
  • CollectionBeauchesne
  • ÉditeurBEAUCHESNE
  • EditeurCharles Kannengiesser

Résumé

On ne doutait pas de la résurrection finale des morts dans l'environnement immédiat du Nouveau Testament. Pour les chrétiens du premier siècle et de spremières décennies du second siècle, ce dogme juif, d'origine phariséenne, représentait à la fois un appui et un écueil : u n appui pour leur affirmation du Christ ressuscité et leur espérance en sa Parousie glorieuse, un écueil à cause des incertitudes mêlées à cette croyance.
Ton H. C. van Eijk explore l'extrême variété des opinions dans un débat qui devint rapidement décisif pour les Eglises naissantes. D'une part, la question du délai de la seconde venue du Christ, préludant avec la résurrection des morts au Jugement ultime des homme, s ne cessait de rebondir et de troubler les croyants. L'auteur montre quelle fut l'évolution rapide des esprits en ce domaine. D'autre part, le réalisme avec lequel on se représentait la résurrection finale des morts soulevait toute une série de problèmes.
Fallait-il admettre une résurrection corporelle pour tous les homme sou seulement pour les justes ? Une telle résurrection supposait-elle l'immortalité de l'âme ? Une formule à saveur biblique comme "résurrection de la chair" , devait-on, ou pouvait-on seulement, l'interpréter dans un sens spiritualiste ? Le conflit fondamental entre le christianisme et les tendances gnostiques de tous les temps se nouait alors autour de ces questions d'anthropologie.
L'auteur analyse avec soin la porté de ce conflit dans les différents milieux chrétiens. Cette étude bénéficie d'un siècle de recherches sur les croyances originelles des chrétiens. Avec une réelle compétence critique et un solide jugement théologique, Ton H. C. van Eijk fait pénétrer au coeur de la mentalité religieuse des Eglises naissantes.
On ne doutait pas de la résurrection finale des morts dans l'environnement immédiat du Nouveau Testament. Pour les chrétiens du premier siècle et de spremières décennies du second siècle, ce dogme juif, d'origine phariséenne, représentait à la fois un appui et un écueil : u n appui pour leur affirmation du Christ ressuscité et leur espérance en sa Parousie glorieuse, un écueil à cause des incertitudes mêlées à cette croyance.
Ton H. C. van Eijk explore l'extrême variété des opinions dans un débat qui devint rapidement décisif pour les Eglises naissantes. D'une part, la question du délai de la seconde venue du Christ, préludant avec la résurrection des morts au Jugement ultime des homme, s ne cessait de rebondir et de troubler les croyants. L'auteur montre quelle fut l'évolution rapide des esprits en ce domaine. D'autre part, le réalisme avec lequel on se représentait la résurrection finale des morts soulevait toute une série de problèmes.
Fallait-il admettre une résurrection corporelle pour tous les homme sou seulement pour les justes ? Une telle résurrection supposait-elle l'immortalité de l'âme ? Une formule à saveur biblique comme "résurrection de la chair" , devait-on, ou pouvait-on seulement, l'interpréter dans un sens spiritualiste ? Le conflit fondamental entre le christianisme et les tendances gnostiques de tous les temps se nouait alors autour de ces questions d'anthropologie.
L'auteur analyse avec soin la porté de ce conflit dans les différents milieux chrétiens. Cette étude bénéficie d'un siècle de recherches sur les croyances originelles des chrétiens. Avec une réelle compétence critique et un solide jugement théologique, Ton H. C. van Eijk fait pénétrer au coeur de la mentalité religieuse des Eglises naissantes.