Tèt Maré Gwadloup. La route du madras de l'Inde à la Guadeloupe
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- Nombre de pages146
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.969 kg
- Dimensions21,4 cm × 33,0 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-491791-04-9
- EAN9782491791049
- Date de parution01/08/2021
- ÉditeurEditions Neg Mawon
Résumé
Dans cet ouvrage, Tèt maré Gwadloup, La route du madras, de l'Inde à la Guadeloupe, nous contons et racontons Karukéra, l'île aux belles eaux, à travers les coiffes que portaient ses femmes. Durant l'esclavage, il était imposé aux femmes misent en esclavage de se couvrir la tête. Egalement privée du droit de parole, au fil du temps, cette obligation à dissimuler leurs cheveux s'est transformée en une mode, un moyen de communiquer, un langage très subtil et codé qu'il était important de connaître.
Aujourd'hui, les jeunes générations se sont appropriées ce maré tét et rivalisent de créativité. Dans cette dynamique de transmission, il nous faut alors révéler à nos enfants les origines de cette tradition vestimentaire qui revient, peu à peu, au goût du jour. Cet ouvrage se veut une contribution à notre connaissance patrimoniale ainsi, et peut-être même surtout, qu'un hommage à celles qui ont marqué notre histoire de leurs empreintes, ou plutôt de leurs coiffes.
Un véritable hymne à la femme guadeloupéenne...
Aujourd'hui, les jeunes générations se sont appropriées ce maré tét et rivalisent de créativité. Dans cette dynamique de transmission, il nous faut alors révéler à nos enfants les origines de cette tradition vestimentaire qui revient, peu à peu, au goût du jour. Cet ouvrage se veut une contribution à notre connaissance patrimoniale ainsi, et peut-être même surtout, qu'un hommage à celles qui ont marqué notre histoire de leurs empreintes, ou plutôt de leurs coiffes.
Un véritable hymne à la femme guadeloupéenne...
Dans cet ouvrage, Tèt maré Gwadloup, La route du madras, de l'Inde à la Guadeloupe, nous contons et racontons Karukéra, l'île aux belles eaux, à travers les coiffes que portaient ses femmes. Durant l'esclavage, il était imposé aux femmes misent en esclavage de se couvrir la tête. Egalement privée du droit de parole, au fil du temps, cette obligation à dissimuler leurs cheveux s'est transformée en une mode, un moyen de communiquer, un langage très subtil et codé qu'il était important de connaître.
Aujourd'hui, les jeunes générations se sont appropriées ce maré tét et rivalisent de créativité. Dans cette dynamique de transmission, il nous faut alors révéler à nos enfants les origines de cette tradition vestimentaire qui revient, peu à peu, au goût du jour. Cet ouvrage se veut une contribution à notre connaissance patrimoniale ainsi, et peut-être même surtout, qu'un hommage à celles qui ont marqué notre histoire de leurs empreintes, ou plutôt de leurs coiffes.
Un véritable hymne à la femme guadeloupéenne...
Aujourd'hui, les jeunes générations se sont appropriées ce maré tét et rivalisent de créativité. Dans cette dynamique de transmission, il nous faut alors révéler à nos enfants les origines de cette tradition vestimentaire qui revient, peu à peu, au goût du jour. Cet ouvrage se veut une contribution à notre connaissance patrimoniale ainsi, et peut-être même surtout, qu'un hommage à celles qui ont marqué notre histoire de leurs empreintes, ou plutôt de leurs coiffes.
Un véritable hymne à la femme guadeloupéenne...