Territoire et développement. Plaidoyer pour une géographie participative
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- Nombre de pages218
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.218 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-35120-167-1
- EAN9782351201671
- Date de parution13/09/2018
- CollectionHommes et cultures
- ÉditeurComplicités
Résumé
Quel plaidoyer pour une géographie participative ? Tels sont l'axe théorique majeur, l'ambition et les perspectives heuristiques qui sont au fondement de cette réflexion. C'est une invite pour les géographes, africains, gabonais, à militer en faveur d'une implication dans la conception et l'élaboration des politiques publiques de développement. La géographie participative s'explique par une double prise de conscience : celle des finalités développementalistes de la production du savoir géographique et celle du caractère inséparable de la recherche sur le terrain et de son application.
C'est vers cette géographie de terrain, au service du développement, que nous orientons les pouvoirs publics qui, malheureusement, voient en cette science une discipline rebutante, sans apport véritable sur les enjeux de développement. Ce qui, entre autres, a pour conséquence chronique, l'échec des politiques publiques de développement, du fait d'une mauvaise lecture du territoire ou de la non identification des besoins réels des acteurs-habitants.
Le terrain est le territoire journalier du géographe. Il lui permet de mieux connaître les nécessités matérielles, de saisir les usages et les appropriations, d'identifier les forces, les faiblesses et les stratégies opératoires, capables d'impulser une nouvelle dynamique territoriale. Car la géographie est une science mouvante et changeante dans le temps et dans l'espace. Elle s'adapte aux multiples changements structurants, structurels, en proposant des modèles théoriques et pratiques, en vue de garantir le développement harmonieux d'un Etat.
C'est vers cette géographie de terrain, au service du développement, que nous orientons les pouvoirs publics qui, malheureusement, voient en cette science une discipline rebutante, sans apport véritable sur les enjeux de développement. Ce qui, entre autres, a pour conséquence chronique, l'échec des politiques publiques de développement, du fait d'une mauvaise lecture du territoire ou de la non identification des besoins réels des acteurs-habitants.
Le terrain est le territoire journalier du géographe. Il lui permet de mieux connaître les nécessités matérielles, de saisir les usages et les appropriations, d'identifier les forces, les faiblesses et les stratégies opératoires, capables d'impulser une nouvelle dynamique territoriale. Car la géographie est une science mouvante et changeante dans le temps et dans l'espace. Elle s'adapte aux multiples changements structurants, structurels, en proposant des modèles théoriques et pratiques, en vue de garantir le développement harmonieux d'un Etat.
Quel plaidoyer pour une géographie participative ? Tels sont l'axe théorique majeur, l'ambition et les perspectives heuristiques qui sont au fondement de cette réflexion. C'est une invite pour les géographes, africains, gabonais, à militer en faveur d'une implication dans la conception et l'élaboration des politiques publiques de développement. La géographie participative s'explique par une double prise de conscience : celle des finalités développementalistes de la production du savoir géographique et celle du caractère inséparable de la recherche sur le terrain et de son application.
C'est vers cette géographie de terrain, au service du développement, que nous orientons les pouvoirs publics qui, malheureusement, voient en cette science une discipline rebutante, sans apport véritable sur les enjeux de développement. Ce qui, entre autres, a pour conséquence chronique, l'échec des politiques publiques de développement, du fait d'une mauvaise lecture du territoire ou de la non identification des besoins réels des acteurs-habitants.
Le terrain est le territoire journalier du géographe. Il lui permet de mieux connaître les nécessités matérielles, de saisir les usages et les appropriations, d'identifier les forces, les faiblesses et les stratégies opératoires, capables d'impulser une nouvelle dynamique territoriale. Car la géographie est une science mouvante et changeante dans le temps et dans l'espace. Elle s'adapte aux multiples changements structurants, structurels, en proposant des modèles théoriques et pratiques, en vue de garantir le développement harmonieux d'un Etat.
C'est vers cette géographie de terrain, au service du développement, que nous orientons les pouvoirs publics qui, malheureusement, voient en cette science une discipline rebutante, sans apport véritable sur les enjeux de développement. Ce qui, entre autres, a pour conséquence chronique, l'échec des politiques publiques de développement, du fait d'une mauvaise lecture du territoire ou de la non identification des besoins réels des acteurs-habitants.
Le terrain est le territoire journalier du géographe. Il lui permet de mieux connaître les nécessités matérielles, de saisir les usages et les appropriations, d'identifier les forces, les faiblesses et les stratégies opératoires, capables d'impulser une nouvelle dynamique territoriale. Car la géographie est une science mouvante et changeante dans le temps et dans l'espace. Elle s'adapte aux multiples changements structurants, structurels, en proposant des modèles théoriques et pratiques, en vue de garantir le développement harmonieux d'un Etat.