Terreur à Guatemala-ville. Conflits territoriaux, violence et gangs
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- Nombre de pages262
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.33 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-343-14254-8
- EAN9782343142548
- Date de parution01/02/2018
- CollectionAnthropologie critique
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierDennis Rodgers
- TraducteurPeggy Berthier
Résumé
Malgré la fin des conflits en 1996, la violence reste un élément majeur de la vie quotidienne dans l'Amérique centrale au XXIe siècle. Cette violence contemporaine de nature criminelle est liée au phénomène de la prolifération des gangs. Diabolisés en tant que "nouveaux barbares", et préoccupation sécuritaire majeure de la région, ils sont devenus la cible de mesures répressives brutales de la part des autorités étatiques.
En même temps, maras et pandillas (gangs en espagnol) doivent être resitués au sein de l'écologie urbaine néolibérale de la capitale. Ils mettent en évidence la violence des riches contre les pauvres. Le lecteur découvrira une forme de terreur qui appelle à être comparée à l'ensemble des "terrorismes" qui se développent, chacun avec sa singularité.
En même temps, maras et pandillas (gangs en espagnol) doivent être resitués au sein de l'écologie urbaine néolibérale de la capitale. Ils mettent en évidence la violence des riches contre les pauvres. Le lecteur découvrira une forme de terreur qui appelle à être comparée à l'ensemble des "terrorismes" qui se développent, chacun avec sa singularité.
Malgré la fin des conflits en 1996, la violence reste un élément majeur de la vie quotidienne dans l'Amérique centrale au XXIe siècle. Cette violence contemporaine de nature criminelle est liée au phénomène de la prolifération des gangs. Diabolisés en tant que "nouveaux barbares", et préoccupation sécuritaire majeure de la région, ils sont devenus la cible de mesures répressives brutales de la part des autorités étatiques.
En même temps, maras et pandillas (gangs en espagnol) doivent être resitués au sein de l'écologie urbaine néolibérale de la capitale. Ils mettent en évidence la violence des riches contre les pauvres. Le lecteur découvrira une forme de terreur qui appelle à être comparée à l'ensemble des "terrorismes" qui se développent, chacun avec sa singularité.
En même temps, maras et pandillas (gangs en espagnol) doivent être resitués au sein de l'écologie urbaine néolibérale de la capitale. Ils mettent en évidence la violence des riches contre les pauvres. Le lecteur découvrira une forme de terreur qui appelle à être comparée à l'ensemble des "terrorismes" qui se développent, chacun avec sa singularité.