Terres de fiction. De quel côté du miroir sommes-nous ?
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- Nombre de pages142
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.215 kg
- Dimensions14,0 cm × 19,0 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-931067-19-2
- EAN9782931067192
- Date de parution08/02/2024
- ÉditeurBOZON2X éditions
Résumé
"Sans cesse nous nous racontons des histoires. Perpétuellement nous fabulons une mise en récit sur le pourquoi et le comment de nos vies. Le tissage du récit et de la narration, du réel et de la fiction, est incessant. Nous échafaudons des châteaux de cartes, des relations de causalités incertaines, et comme si cela ne suffisait pas nous lisons, nous écoutons, regardons, voire même écrivons parfois, nous enregistrons ou nous filmons...
des histoires. Toujours des histoires. Comme si tout commençait par des sensations et finissait en récits. Cela parce que nous aurions, peut-être par pur égocentrisme, l'irrépressible besoin d'agir dans et sur le monde, d'y être l'un des protagonistes". â¨Lorenzo Soccavo
des histoires. Toujours des histoires. Comme si tout commençait par des sensations et finissait en récits. Cela parce que nous aurions, peut-être par pur égocentrisme, l'irrépressible besoin d'agir dans et sur le monde, d'y être l'un des protagonistes". â¨Lorenzo Soccavo
"Sans cesse nous nous racontons des histoires. Perpétuellement nous fabulons une mise en récit sur le pourquoi et le comment de nos vies. Le tissage du récit et de la narration, du réel et de la fiction, est incessant. Nous échafaudons des châteaux de cartes, des relations de causalités incertaines, et comme si cela ne suffisait pas nous lisons, nous écoutons, regardons, voire même écrivons parfois, nous enregistrons ou nous filmons...
des histoires. Toujours des histoires. Comme si tout commençait par des sensations et finissait en récits. Cela parce que nous aurions, peut-être par pur égocentrisme, l'irrépressible besoin d'agir dans et sur le monde, d'y être l'un des protagonistes". â¨Lorenzo Soccavo
des histoires. Toujours des histoires. Comme si tout commençait par des sensations et finissait en récits. Cela parce que nous aurions, peut-être par pur égocentrisme, l'irrépressible besoin d'agir dans et sur le monde, d'y être l'un des protagonistes". â¨Lorenzo Soccavo