Terrains d'entente. Anthropologues et écrivains dans la seconde moitié du XXe siècle

Par : Eléonore Devevey
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  • Nombre de pages464
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.875 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 2,8 cm
  • ISBN978-2-37896-225-8
  • EAN9782378962258
  • Date de parution04/11/2021
  • CollectionOeuvres en sociétés
  • ÉditeurPresses du Réel (Les)

Résumé

Dans le second XXe siècle, comment la question de l'écriture se pose-t-elle pour les anthropologues ? Quel rôle la littérature comme idée, corpus ou pratique, joue-t-elle dans leurs enquêtes et dans leurs écrits ? Et que font les écrivains du savoir anthropologique ? Quelle place trouve-t-il dans leur bibliothèque et dans leurs démarches ? Des échanges entre Georges Condominas et Georges Perec aux travaux d'Yvonne Verdier, de la Chronique des Indiens guayaki de Pierre Clastres aux essais de Gérard Macé, cet ouvrage s'attache à éclairer, à partir d'un corpus mêlant écrits d'anthropologues et d'écrivains, la reconfiguration de leurs rapports de 1945 à nos jours.
Le propos n'est pas tant de mettre face à face littérature et anthropologie que de montrer comment, historiquement, des terrains communs, d'entente ou de dissension, ont pu se dessiner, faisant apparaitre des tensions, des porosités, des convergences nouvelles. Ces compagnonnages ont relancé la réflexion anthropologique en même temps qu'ils ont modifié la littérature.
Dans le second XXe siècle, comment la question de l'écriture se pose-t-elle pour les anthropologues ? Quel rôle la littérature comme idée, corpus ou pratique, joue-t-elle dans leurs enquêtes et dans leurs écrits ? Et que font les écrivains du savoir anthropologique ? Quelle place trouve-t-il dans leur bibliothèque et dans leurs démarches ? Des échanges entre Georges Condominas et Georges Perec aux travaux d'Yvonne Verdier, de la Chronique des Indiens guayaki de Pierre Clastres aux essais de Gérard Macé, cet ouvrage s'attache à éclairer, à partir d'un corpus mêlant écrits d'anthropologues et d'écrivains, la reconfiguration de leurs rapports de 1945 à nos jours.
Le propos n'est pas tant de mettre face à face littérature et anthropologie que de montrer comment, historiquement, des terrains communs, d'entente ou de dissension, ont pu se dessiner, faisant apparaitre des tensions, des porosités, des convergences nouvelles. Ces compagnonnages ont relancé la réflexion anthropologique en même temps qu'ils ont modifié la littérature.