Tenir ce qui se tient
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- Nombre de pages224
- PrésentationRelié
- Poids0.261 kg
- Dimensions14,1 cm × 19,2 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-35577-063-0
- EAN9782355770630
- Date de parution10/05/2014
- CollectionPlupart du temps
- ÉditeurLa rumeur libre
- TraducteurNathalie Greff Santamaria
Résumé
La poésie de Diana est animée par la capacité lyrique de voir le monde dans un élan de grâce du langage. Quelque chose gémit dans ces poèmes, comme du cristal blessé, du sang séché, la bouche de la vase. En même temps, sa poésie est patiemment douce, peuplée de diminutifs, des mauvaises habitudes du langage, d'apocopes de l'intimité populaire au sein de vers fragiles qui resplendissent, rythmiques, chantés, où cette richesse n'est plus bridée.
L'oeil de Diana Bellessi ne voit pas les choses comme des objets, mais comme des visages portés à son attention. Là réside et se condense son habitat : regarder, parler du regardé dans le poème, être regardée et parlée dans le langage depuis cette condition mortelle qui donne, à la poète et à toutes les créatures, sa place dans le monde.
L'oeil de Diana Bellessi ne voit pas les choses comme des objets, mais comme des visages portés à son attention. Là réside et se condense son habitat : regarder, parler du regardé dans le poème, être regardée et parlée dans le langage depuis cette condition mortelle qui donne, à la poète et à toutes les créatures, sa place dans le monde.
La poésie de Diana est animée par la capacité lyrique de voir le monde dans un élan de grâce du langage. Quelque chose gémit dans ces poèmes, comme du cristal blessé, du sang séché, la bouche de la vase. En même temps, sa poésie est patiemment douce, peuplée de diminutifs, des mauvaises habitudes du langage, d'apocopes de l'intimité populaire au sein de vers fragiles qui resplendissent, rythmiques, chantés, où cette richesse n'est plus bridée.
L'oeil de Diana Bellessi ne voit pas les choses comme des objets, mais comme des visages portés à son attention. Là réside et se condense son habitat : regarder, parler du regardé dans le poème, être regardée et parlée dans le langage depuis cette condition mortelle qui donne, à la poète et à toutes les créatures, sa place dans le monde.
L'oeil de Diana Bellessi ne voit pas les choses comme des objets, mais comme des visages portés à son attention. Là réside et se condense son habitat : regarder, parler du regardé dans le poème, être regardée et parlée dans le langage depuis cette condition mortelle qui donne, à la poète et à toutes les créatures, sa place dans le monde.