Templum Tragoediae 1734. La fabrique d'une tragédie
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- Nombre de pages240
- PrésentationRelié
- Poids0.37 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 0,2 cm
- ISBN978-2-7453-1935-7
- EAN9782745319357
- Date de parution01/09/2009
- CollectionL'âge des lumières
- ÉditeurHonoré Champion
Résumé
Templum Tragoediae (1734) du P. Marsy, S. J. , raconte, dans un poème en hexamètres dactyliques, comment le poète, lors d'une promenade sur les sommets du Parnasse, s'égare et découvre le palais de la Tragédie. Invité à entrer par la déesse du lieu, Melpomène, le poète est alors honoré d'une visite guidée du temple et d'un commentaire des nombreux tableaux qui décorent les murs, avant de rencontrer trois personnages qui incarnent respectivement la Pitié, la Terreur et l'Amour.
Ce texte intéressera de nombreux érudits : les historiens de l'éducation étudiant les collèges jésuites en premier lieu, mais aussi les historiens de l'art ou encore les littéraires, en ce qu'il représente un autre pan du XVIIIe siècle, plutôt opposé aux Lumières, celui de la tradition docte.
Ce texte intéressera de nombreux érudits : les historiens de l'éducation étudiant les collèges jésuites en premier lieu, mais aussi les historiens de l'art ou encore les littéraires, en ce qu'il représente un autre pan du XVIIIe siècle, plutôt opposé aux Lumières, celui de la tradition docte.
Templum Tragoediae (1734) du P. Marsy, S. J. , raconte, dans un poème en hexamètres dactyliques, comment le poète, lors d'une promenade sur les sommets du Parnasse, s'égare et découvre le palais de la Tragédie. Invité à entrer par la déesse du lieu, Melpomène, le poète est alors honoré d'une visite guidée du temple et d'un commentaire des nombreux tableaux qui décorent les murs, avant de rencontrer trois personnages qui incarnent respectivement la Pitié, la Terreur et l'Amour.
Ce texte intéressera de nombreux érudits : les historiens de l'éducation étudiant les collèges jésuites en premier lieu, mais aussi les historiens de l'art ou encore les littéraires, en ce qu'il représente un autre pan du XVIIIe siècle, plutôt opposé aux Lumières, celui de la tradition docte.
Ce texte intéressera de nombreux érudits : les historiens de l'éducation étudiant les collèges jésuites en premier lieu, mais aussi les historiens de l'art ou encore les littéraires, en ce qu'il représente un autre pan du XVIIIe siècle, plutôt opposé aux Lumières, celui de la tradition docte.