Tango. Musique et poésie
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- Nombre de pages286
- PrésentationBroché
- Poids0.6 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,3 cm
- ISBN2-86808-239-4
- EAN9782868082398
- Date de parution23/08/2006
- ÉditeurChristian Pirot (Editions)
- PréfacierErnesto Sábato
- TraducteurFrédéric Pic
Résumé
1935.
Gardel, qui tourne un film à New York, se repose dans sa chambre d'hôtel. Un enfant, soudain, s'introduit par la fenêtre, offre au chanteur une tête de bois sculptée qui le représente et se met à jouer du bandonéon. Séduit, Gardel lui offre un petit rôle dans son film... L'enfant s'appelle Astor Pantaleon Piazzola, il a treize ans. Gardel n'a plus que quelques mois à vivre. S'il laisse à chacun le soin d'élucider par quel sortilège le chant du tango - dont Satie disait qu'elle était la danse préférée du diable - s'est répandu des conventillos du Buenos Aires de 1900 aux scènes les plus prestigieuses du monde entier, Antonio Pau nous fait vivre ici ses étonnantes pérégrinations au travers d'anecdotes savoureuses où se côtoient auteurs et textes, compositeurs, interprètes, orchestres et musiciens. Le lecteur apprendra ainsi qu'Augustin Magaldi, mort en septembre 1938, enregistra très officiellement Siempre es caltaval en novembre de la même année. Que Japonais et Finlandais sont mordus de tango. Mais aussi combien de boutons compte le bandonéon, qui était Horacio Pettorossi, ou quel est le premier tango chanté jamais enregistré.
Gardel, qui tourne un film à New York, se repose dans sa chambre d'hôtel. Un enfant, soudain, s'introduit par la fenêtre, offre au chanteur une tête de bois sculptée qui le représente et se met à jouer du bandonéon. Séduit, Gardel lui offre un petit rôle dans son film... L'enfant s'appelle Astor Pantaleon Piazzola, il a treize ans. Gardel n'a plus que quelques mois à vivre. S'il laisse à chacun le soin d'élucider par quel sortilège le chant du tango - dont Satie disait qu'elle était la danse préférée du diable - s'est répandu des conventillos du Buenos Aires de 1900 aux scènes les plus prestigieuses du monde entier, Antonio Pau nous fait vivre ici ses étonnantes pérégrinations au travers d'anecdotes savoureuses où se côtoient auteurs et textes, compositeurs, interprètes, orchestres et musiciens. Le lecteur apprendra ainsi qu'Augustin Magaldi, mort en septembre 1938, enregistra très officiellement Siempre es caltaval en novembre de la même année. Que Japonais et Finlandais sont mordus de tango. Mais aussi combien de boutons compte le bandonéon, qui était Horacio Pettorossi, ou quel est le premier tango chanté jamais enregistré.
1935.
Gardel, qui tourne un film à New York, se repose dans sa chambre d'hôtel. Un enfant, soudain, s'introduit par la fenêtre, offre au chanteur une tête de bois sculptée qui le représente et se met à jouer du bandonéon. Séduit, Gardel lui offre un petit rôle dans son film... L'enfant s'appelle Astor Pantaleon Piazzola, il a treize ans. Gardel n'a plus que quelques mois à vivre. S'il laisse à chacun le soin d'élucider par quel sortilège le chant du tango - dont Satie disait qu'elle était la danse préférée du diable - s'est répandu des conventillos du Buenos Aires de 1900 aux scènes les plus prestigieuses du monde entier, Antonio Pau nous fait vivre ici ses étonnantes pérégrinations au travers d'anecdotes savoureuses où se côtoient auteurs et textes, compositeurs, interprètes, orchestres et musiciens. Le lecteur apprendra ainsi qu'Augustin Magaldi, mort en septembre 1938, enregistra très officiellement Siempre es caltaval en novembre de la même année. Que Japonais et Finlandais sont mordus de tango. Mais aussi combien de boutons compte le bandonéon, qui était Horacio Pettorossi, ou quel est le premier tango chanté jamais enregistré.
Gardel, qui tourne un film à New York, se repose dans sa chambre d'hôtel. Un enfant, soudain, s'introduit par la fenêtre, offre au chanteur une tête de bois sculptée qui le représente et se met à jouer du bandonéon. Séduit, Gardel lui offre un petit rôle dans son film... L'enfant s'appelle Astor Pantaleon Piazzola, il a treize ans. Gardel n'a plus que quelques mois à vivre. S'il laisse à chacun le soin d'élucider par quel sortilège le chant du tango - dont Satie disait qu'elle était la danse préférée du diable - s'est répandu des conventillos du Buenos Aires de 1900 aux scènes les plus prestigieuses du monde entier, Antonio Pau nous fait vivre ici ses étonnantes pérégrinations au travers d'anecdotes savoureuses où se côtoient auteurs et textes, compositeurs, interprètes, orchestres et musiciens. Le lecteur apprendra ainsi qu'Augustin Magaldi, mort en septembre 1938, enregistra très officiellement Siempre es caltaval en novembre de la même année. Que Japonais et Finlandais sont mordus de tango. Mais aussi combien de boutons compte le bandonéon, qui était Horacio Pettorossi, ou quel est le premier tango chanté jamais enregistré.