Tahiti. L'Eden à l'épreuve de la photographie

Par : Jean-Yves Trehin

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  • Nombre de pages207
  • PrésentationRelié
  • Poids1.465 kg
  • Dimensions28,5 cm × 24,3 cm × 2,5 cm
  • ISBN2-07-011771-5
  • EAN9782070117710
  • Date de parution02/10/2003
  • ÉditeurGallimard

Résumé

Les premières épreuves photographiques de la Polynésie sont très rares, la plupart des clichés sont l'œuvre au début de médecins ou d'officiers de marine - Gustave Viaud, Paul-Emile Miot -, affectés temporairement dans les - îles ou simplement de passage lors d'une escale. Puis viennent des professionnels - Eugène Courret, Charles et Susan Hoare, Charles Georges Spitz, Lucien Gauthier -, et nombre d'amateurs de talent, tels Henri Lemasson et Jules Agostini, qui font connaître cet éden et leurs habitants, pêcheurs et vahinés, chefs coutumiers et colons.
Dans les années 1930, sous le regard de Roger Parry et de Thérèse Le Prat, cette vision du paradis se décale, laissant entrevoir une réalité souvent plus sombre, tandis que le peintre Henri Matisse se contente de ce qu'il appelle modestement des " photographies-souvenirs " ; il les gardera pourtant, et certaines renaîtront dans son œuvre peinte, tant il a " absorbé comme une éponge cet univers magique de l'Océanie, unique au monde ".
Les premières épreuves photographiques de la Polynésie sont très rares, la plupart des clichés sont l'œuvre au début de médecins ou d'officiers de marine - Gustave Viaud, Paul-Emile Miot -, affectés temporairement dans les - îles ou simplement de passage lors d'une escale. Puis viennent des professionnels - Eugène Courret, Charles et Susan Hoare, Charles Georges Spitz, Lucien Gauthier -, et nombre d'amateurs de talent, tels Henri Lemasson et Jules Agostini, qui font connaître cet éden et leurs habitants, pêcheurs et vahinés, chefs coutumiers et colons.
Dans les années 1930, sous le regard de Roger Parry et de Thérèse Le Prat, cette vision du paradis se décale, laissant entrevoir une réalité souvent plus sombre, tandis que le peintre Henri Matisse se contente de ce qu'il appelle modestement des " photographies-souvenirs " ; il les gardera pourtant, et certaines renaîtront dans son œuvre peinte, tant il a " absorbé comme une éponge cet univers magique de l'Océanie, unique au monde ".