Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Sylvius a paru pour la première fois en 1948, dans une édition de luxe à tirage limité. C'est l'histoire d'une famille tranquille qui vit en Provence,...
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Sylvius a paru pour la première fois en 1948, dans une édition de luxe à tirage limité. C'est l'histoire d'une famille tranquille qui vit en Provence, les Mégremut. Famille unie, respectée, charmante, qui sert de guide et de modèle à tout un village. Un Mégremut pourtant, Sylvius, enfreint la tradition et part en voyage. Il se joint à une troupe de misérables comédiens ambulants. La famille le retrouve et fait un pacte avec les comédiens. Sylvius restera six mois chez eux, six mois avec les Mégremut. Sylvius s'en retourne donc docilement. Mais à Noël, quand il devrait rejoindre les baladins, il s'alite et meurt.
Sans cette histoire simple et subtile, on trouve l'essence même de l'art d'Henri Bosco : la poésie, le sens du mystère et du sacré.
Ce très court roman est un petit poème, un appel au rêve et au voyage. L’histoire si simple d’un vieil homme en fugue est émouvante et empreinte de merveilleux.
L'éditeur en parle
C'est l'histoire d'une famille tranquille qui vit en Provence, les Mégremut. Famille unie, respectée, charmante, qui sert de guide et de modèle à tout un village. Un Mégremut pourtant, Sylvius, enfreint la tradition et part en voyage. Il se joint à une troupe de misérables comédiens ambulants. La famille le retrouve et fait un pacte avec les comédiens. Sylvius restera six mois chez eux, six mois avec les Mégremut. Sylvius s'en retourne donc docilement. Mais à Noël, quand il devrait rejoindre les baladins, il s'alite et meurt. Dans cette histoire simple et subtile, on trouve l'essence même de l'art d'Henri Bosco : la poésie, le sens du mystère et du sacré.
5/5
Ce très court roman est un petit poème, un appel au rêve et au voyage. L’histoire si simple d’un vieil homme en fugue est émouvante et empreinte de merveilleux.