Sybille de Dietrich. Une femme des Lumières en quête de liberté
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- Nombre de pages277
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.61 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-7165-0854-4
- EAN9782716508544
- Date de parution01/09/2018
- ÉditeurLa Nuée bleue
- PréfacierDaniel Fischer
Résumé
Figure oubliée de la famille de Dietrich, Sybille (1755-1806) n'est pas seulement l'épouse de Philippe Frédéric, le premier maire élu de Strasbourg, et l'arrangeuse de La Marseillaise, qui a été chantée pour la première fois dans son salon. Femme des Lumières profondément républicaine, intellectuelle, elle tient salon à Strasbourg et à Paris. Sous la Terreur, elle échappe de peu à la guillotine qui fauche son mari et, veuve volontariste, fait face à la ruine des affaires Dietrich.
C'est aussi une amante qui affronte sa famille pour vivre son amour avec un jeune et brillant militaire, une mère éplorée qui perd, un à un, ses quatre enfants, une grand-mère qui n'hésite pas à élever sa petite-fille illégitime dans un monde aux moeurs encore figées, une franc-maçonne engagée dans les premières loges féminines. Sa vie s'inscrit au sein d'un vaste réseau familial et amical qui rayonne dans toute l'Europe, de Nantes à Hambourg, en passant par Bâle et Paris, et bien sûr Strasbourg, au milieu des grandes figures littéraires, artistiques et politiques de son époque en révolution.
Sous la plume vivante de l'auteure et à travers de nombreuses citations épistolaires, la baronne et citoyenne Dietrich joue de la musique, lit, commente la politique, pleure et réconforte. En un mot, elle vit - ou revit - à chaque page.
C'est aussi une amante qui affronte sa famille pour vivre son amour avec un jeune et brillant militaire, une mère éplorée qui perd, un à un, ses quatre enfants, une grand-mère qui n'hésite pas à élever sa petite-fille illégitime dans un monde aux moeurs encore figées, une franc-maçonne engagée dans les premières loges féminines. Sa vie s'inscrit au sein d'un vaste réseau familial et amical qui rayonne dans toute l'Europe, de Nantes à Hambourg, en passant par Bâle et Paris, et bien sûr Strasbourg, au milieu des grandes figures littéraires, artistiques et politiques de son époque en révolution.
Sous la plume vivante de l'auteure et à travers de nombreuses citations épistolaires, la baronne et citoyenne Dietrich joue de la musique, lit, commente la politique, pleure et réconforte. En un mot, elle vit - ou revit - à chaque page.
Figure oubliée de la famille de Dietrich, Sybille (1755-1806) n'est pas seulement l'épouse de Philippe Frédéric, le premier maire élu de Strasbourg, et l'arrangeuse de La Marseillaise, qui a été chantée pour la première fois dans son salon. Femme des Lumières profondément républicaine, intellectuelle, elle tient salon à Strasbourg et à Paris. Sous la Terreur, elle échappe de peu à la guillotine qui fauche son mari et, veuve volontariste, fait face à la ruine des affaires Dietrich.
C'est aussi une amante qui affronte sa famille pour vivre son amour avec un jeune et brillant militaire, une mère éplorée qui perd, un à un, ses quatre enfants, une grand-mère qui n'hésite pas à élever sa petite-fille illégitime dans un monde aux moeurs encore figées, une franc-maçonne engagée dans les premières loges féminines. Sa vie s'inscrit au sein d'un vaste réseau familial et amical qui rayonne dans toute l'Europe, de Nantes à Hambourg, en passant par Bâle et Paris, et bien sûr Strasbourg, au milieu des grandes figures littéraires, artistiques et politiques de son époque en révolution.
Sous la plume vivante de l'auteure et à travers de nombreuses citations épistolaires, la baronne et citoyenne Dietrich joue de la musique, lit, commente la politique, pleure et réconforte. En un mot, elle vit - ou revit - à chaque page.
C'est aussi une amante qui affronte sa famille pour vivre son amour avec un jeune et brillant militaire, une mère éplorée qui perd, un à un, ses quatre enfants, une grand-mère qui n'hésite pas à élever sa petite-fille illégitime dans un monde aux moeurs encore figées, une franc-maçonne engagée dans les premières loges féminines. Sa vie s'inscrit au sein d'un vaste réseau familial et amical qui rayonne dans toute l'Europe, de Nantes à Hambourg, en passant par Bâle et Paris, et bien sûr Strasbourg, au milieu des grandes figures littéraires, artistiques et politiques de son époque en révolution.
Sous la plume vivante de l'auteure et à travers de nombreuses citations épistolaires, la baronne et citoyenne Dietrich joue de la musique, lit, commente la politique, pleure et réconforte. En un mot, elle vit - ou revit - à chaque page.