Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Anzu, céramiste, se consacre intensément à son art. Divorcée, elle habite seule avec son fils et ne souhaite pas se remarier. Cette vie calme et sereine...
Lire la suite
Anzu, céramiste, se consacre intensément à son art. Divorcée, elle habite seule avec son fils et ne souhaite pas se remarier. Cette vie calme et sereine lui convient. Sa soeur aînée annonce ses fiançailles et sa visite prochaine avec l'heureux élu.
Premier volume d'une nouvelle pentalogie par la reine du genre, Suzuran renoue avec la sensibilité touchante des précédents romans de Shimazaki. L'action est cette fois située dans une petite ville japonaise de la côte ouest, face à la Corée et au pied d'une montagne. Chassé-croisé amoureux entre deux soeurs qui s'échangent à leur insu leurs amants, le roman gagne en précision narrative ce qu'il perd en subtilité - la métaphore sexuelle du four à poterie n'étant pas des plus heureuses. Un début très prometteur toutefois pour cette nouvelle pentalogie, qui se termine sur une note
inattendue à vous crever le coeur.
Aki Shimazaki possède l'art de la touche. Voici le portrait d' Anzu, une céramiste dévouée à son art qui, après la révélation de secrets , connaît enfin le bonheur conjugal. C'est beau, tendre, lumineux.
Un début de toute beauté à un nouveau cycle
Premier volume d'une nouvelle pentalogie par la reine du genre, Suzuran renoue avec la sensibilité touchante des précédents romans de Shimazaki. L'action est cette fois située dans une petite ville japonaise de la côte ouest, face à la Corée et au pied d'une montagne. Chassé-croisé amoureux entre deux soeurs qui s'échangent à leur insu leurs amants, le roman gagne en précision narrative ce qu'il perd en subtilité - la métaphore sexuelle du four à poterie n'étant pas des plus heureuses. Un début très prometteur toutefois pour cette nouvelle pentalogie, qui se termine sur une note inattendue à vous crever le coeur.