Suzanne Aubert 1835 - 1926. Une Française chez les Maoris
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- Nombre de pages297
- PrésentationBroché
- Poids0.39 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-7067-0802-2
- EAN9782706708022
- Date de parution01/04/2011
- ÉditeurSalvator
- PréfacierPhilippe Barbarin
- PostfacierJean-Yves Riocreux
Résumé
"Native de Saint-Symphorien-de-Lay, Suzanne Aubert est présentée dans cet ouvrage de son départ de Lyon en 1860 jusqu'à son départ vers Dieu en 1926. [...] J'ai été impressionné par la trace qu'elle a laissée en Nouvelle-Zélande. Il n'est pas étonnant que cette religieuse à la personnalité exceptionnelle ait été la première femme pour laquelle la Nouvelle-Zélande a décrété des obsèques nationales." Philippe Barbarin.
Voici le récit palpitant et méconnu d'une femme libre, missionnaire au caractère bien trempé, courageuse et non-conformiste. Suzanne Aubert aura accompli pleinement la destinée que Dieu avait pour elle et que le Curé d'Ars lui avait partiellement révélée. Elle fut un être heureux, dynamique et rieur qui mettait toute sa force au service du plus petit d'entre ses frères. Dans la Nouvelle-Zélande hybride de la fin du XIXe siècle, qui passait de pays maori à Etat moderne, elle recueille les oubliés : vieux bûcherons ou chercheurs d'or inutiles, nouveau-nés ou enfants abandonnés.
Les "Filles de Notre-Dame de la Compassion", la plus petite congrégation de religieuses catholiques au monde et la plus éloignée de Rome, continuent aujourd'hui le sacerdoce de leur fondatrice dans leur compassion pour les oubliés.
Voici le récit palpitant et méconnu d'une femme libre, missionnaire au caractère bien trempé, courageuse et non-conformiste. Suzanne Aubert aura accompli pleinement la destinée que Dieu avait pour elle et que le Curé d'Ars lui avait partiellement révélée. Elle fut un être heureux, dynamique et rieur qui mettait toute sa force au service du plus petit d'entre ses frères. Dans la Nouvelle-Zélande hybride de la fin du XIXe siècle, qui passait de pays maori à Etat moderne, elle recueille les oubliés : vieux bûcherons ou chercheurs d'or inutiles, nouveau-nés ou enfants abandonnés.
Les "Filles de Notre-Dame de la Compassion", la plus petite congrégation de religieuses catholiques au monde et la plus éloignée de Rome, continuent aujourd'hui le sacerdoce de leur fondatrice dans leur compassion pour les oubliés.
"Native de Saint-Symphorien-de-Lay, Suzanne Aubert est présentée dans cet ouvrage de son départ de Lyon en 1860 jusqu'à son départ vers Dieu en 1926. [...] J'ai été impressionné par la trace qu'elle a laissée en Nouvelle-Zélande. Il n'est pas étonnant que cette religieuse à la personnalité exceptionnelle ait été la première femme pour laquelle la Nouvelle-Zélande a décrété des obsèques nationales." Philippe Barbarin.
Voici le récit palpitant et méconnu d'une femme libre, missionnaire au caractère bien trempé, courageuse et non-conformiste. Suzanne Aubert aura accompli pleinement la destinée que Dieu avait pour elle et que le Curé d'Ars lui avait partiellement révélée. Elle fut un être heureux, dynamique et rieur qui mettait toute sa force au service du plus petit d'entre ses frères. Dans la Nouvelle-Zélande hybride de la fin du XIXe siècle, qui passait de pays maori à Etat moderne, elle recueille les oubliés : vieux bûcherons ou chercheurs d'or inutiles, nouveau-nés ou enfants abandonnés.
Les "Filles de Notre-Dame de la Compassion", la plus petite congrégation de religieuses catholiques au monde et la plus éloignée de Rome, continuent aujourd'hui le sacerdoce de leur fondatrice dans leur compassion pour les oubliés.
Voici le récit palpitant et méconnu d'une femme libre, missionnaire au caractère bien trempé, courageuse et non-conformiste. Suzanne Aubert aura accompli pleinement la destinée que Dieu avait pour elle et que le Curé d'Ars lui avait partiellement révélée. Elle fut un être heureux, dynamique et rieur qui mettait toute sa force au service du plus petit d'entre ses frères. Dans la Nouvelle-Zélande hybride de la fin du XIXe siècle, qui passait de pays maori à Etat moderne, elle recueille les oubliés : vieux bûcherons ou chercheurs d'or inutiles, nouveau-nés ou enfants abandonnés.
Les "Filles de Notre-Dame de la Compassion", la plus petite congrégation de religieuses catholiques au monde et la plus éloignée de Rome, continuent aujourd'hui le sacerdoce de leur fondatrice dans leur compassion pour les oubliés.



